Découverte d'un peuple, histoire, conquérant, terre nouvelle, pays découverts, civilisations, Christophe Colomb, humanisme, peuples autochtones, indigènes, découverte de l'Amérique, route de l'Inde
Depuis l'époque de Christophe Colomb, dans la bouche et l'esprit des Européens, la conquête du savoir s'est prévalue d'une volonté d'extension humaniste, d'abord du christianisme, puis d'une volonté civilisatrice… L'expansion des nouvelles connaissances a en premier lieu été motivée par la recherche scientifique dans les territoires inconnus suivis d'une volonté colonisatrice. En effet la colonisation n'a pas seulement consisté à acquérir des territoires.
[...] En Italie, la Renaissance apparaît elle se caractérise par une soif de savoir de la part d'artistes, à la fois architectes, peintres, sculpteur. Ces différents univers d'art sont adoptés en Europe notamment en France, où François Ier repend ce style italien dans le domaine de l'architecture, comme les châteaux de la Loire. François demanda même la traduction du Parfait Courtisan de Castiglione, véritable manuel de l'Homme au sein du monde moderne. Ces idées sont diffusées au travers de l'Europe grâce à l'imprimerie, inventée par Gutenberg en 1438. [...]
[...] Comme nous avons pu le voir dans l'Histoire, l'Humain haï ce qu'il ne connaît pas, mais cherche à l'apprivoiser pour mieux se développer. Ce paradoxe illustre la colonisation, une envie d'extension des connaissances, mais une haine barbare des nouveaux peuples. On apprend et on s'enrichit les uns les autres par nos compétences et nos savoirs différents. Je pense que pour se construire, l'Homme s'arme de son savoir au détriment des peuples considérés comme des « sauvages ». Alors, pourquoi certains Hommes rejettent-ils d'autres cultures, jugées différentes, alors qu'elles sont sujets d'observation pour s'enrichir moralement pour d'autres ?? [...]
[...] On en a l'exemple avec la route des Indes qui a pour but d'échanger épices et autres aliments que l'Europe ne peut et en sait produire à l'époque. Les Européens se mettent alors en quête de nouveaux savoirs scientifiques. La connaissance des peuples autochtones est un véritable enjeu pour l'Europe au XVe siècle. En effet, inconnus de l'Europe, ces peuples représentent un véritable sujet à observation sur leurs méthodes nouvelles, proche de la nature, coutumes inconnues. Ces ressources inexplorées enseignent aux Européens la nécessité de se rapprocher de la nature, s'ouvrir à une nouvelle culture est notamment synonyme de nouveaux savoirs. [...]
[...] En quoi la découverte d'un peuple peut-elle être bénéfique pour la société ? Depuis l'époque de Christophe Colomb, dans la bouche et l'esprit des Européens, la conquête du savoir s'est prévalue d'une volonté d'extension humaniste, d'abord du christianisme, puis d'une volonté civilisatrice L'expansion des nouvelles connaissances a en premier lieu été motivée par la recherche scientifique dans les territoires inconnus suivis d'une volonté colonisatrice. En effet la colonisation n'a pas seulement consisté à acquérir des territoires. Il s'agit surtout de les organiser en fonction des problèmes rencontrés dans chaque territoire, mais aussi des richesses qu'on veut en tirer et des moyens qu'on veut mettre en œuvre. [...]
[...] C'est la redécouverte de l'Humain. Explorer de nouveaux peuples pour approfondir son savoir est adopté en Europe comme l'exemple du Quattrocento. Effectivement, au XVIe siècle, la guerre d'Italie montre un paradoxe entre guerre et découverte de l'autre. François 1er va véritablement adopter l'art, la science ainsi que l'architecture italienne. Notamment grâce à sa rencontre avec Léonard de Vinci, précurseur d'un nouveau mouvement artistique et scientifique hors norme en Europe. Cela va permettre à Léonard de Vinci de diffuser son savoir à travers l'Europe, c'est la Renaissance. [...]
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