Prince, sciences, époque moderne, Angleterre, France, Pays-Bas, péninsule italienne, De Vinci, Ludovic Sforza, Thomas Sprat, Colbert, académie royale
Le prince peut faire référence à l'oeuvre de Machiavel, celui qui a la tête du pouvoir séculier, le prince est le souverain, celui qui dirige l'État, il en est le représentant, l'intérêt du roi se répercute sur l'État dans son ensemble...
Les sciences n'ont pas le même sens qu'aujourd'hui il y a les arts, la philosophie de la nature liée aux expériences, nouvelle approche des sciences issue de l'héritage des Anciens. Lieux d'apprentissage de la science. Il y a par ailleurs une dimension utilitariste avec l'intégration de la technique.
[...] Le fait qu'il soit en statut indique donc que c'est plutôt une présence symbolique Doc 3 : Création de l'académie royale en 1666, elle est créée par Colbert, et sa a été repris par Louvin dans les années 1670, il meurt en 1691, et le roi décide de réglementer l'académie. Le roi est présent constamment dans chaque article, là le roi décide de tout, plus présent donc qu'en Angleterre. Le roi de France finance alors qu'en Angleterre les savants sont indépendants. Ce règlement de 1669 acte la fin de la liberté d'entreprendre de l'académie royale. Il y a une mainmise du roi sur l'académie la csq c'est qu'on assiste à une normalisation de la méthode qui est voulu par le pouvoir royal. [...]
[...] La différence entre l'artiste et le technicien est ici absente en le personnage de De Vinci. Sforza n'engage finalement pas De Vinci Doc 2 : Thomas Sprat évêque auprès de Charles II, scientifique, il participe à la création de la Royal Society et fait son histoire qu'il publie en 1668. Sur la colonne centrale on voit le nom du prince qui a autorisé la création de la Royal society, et sa statut indique que c'est sur lui que repose la création de la royal society, le fait qu'il soit en pierre et pas en chair prouve qu'il est présent sans être là. [...]
[...] Intérêt des sciences pour l'économie du pays. Il faut développer l'économie et cela passe par les sciences. On voit qu'il y a encore une place décisionnelle majeure du roi. Doc 5 : Glissement de la science vers un intérêt de l'Etat 3. EXPLOITATION PEDAGOGIQUE 5ème : THEME 3 : Transformation de l'Europe et ouverture du monde au XVI-XVIIe avec une partie sur : Du prince de la Renaissance au roi absolu (François Ier, Henri IV et Louis XIV). 2nd : institutionnalisation des sciences Les notions et les connaissances : Patronage, mécénat : dire qu'il existe plusieurs sorte de mécénat / Absolutisme Prince éclairée / Académie / La notion de science par contre est vu sur tout le chapitre, faire un focus pourrait être vu péjorativement. [...]
[...] Image d'un spécialiste qui s'intéresse un peu à tout et qui peut vendre son savoir militaire et se techniques, ses machines. Sforza put diffuser les savoirs de Leonard de Vinci via l'architecture, l'urbanisme, la peinture. Pour cela De Vinci veut expérimenter devant lui ce qu'il est capable de faire. Il s'engage à faire les expériences pour prouver qu'il est capable de faire ce qu'il avance. Le rapport entre les deux est vraiment hiérarchique. Pour la période donné on peut parler de mécénat. [...]
[...] Rapport de chaque roi peut avoir avec les sciences. Les sciences = pas le même sens qu'aujourd'hui il y a les ars, la philosophie de la nature lié aux expériences, nouvelle approche des sciences issue de l'héritage des Anciens. Lieux d'apprentissage de la science. Il y a par ailleurs une dimension utilitariste avec l'intégration de la technique Et = indique une réciprocité, le fait que prince soit placer avant sa induit un rapport de subordination, dans un sens comment la science permet de maintenir le pouvoir, et dans un second sens comment la science est promut, contrôler par le prince. [...]
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