Karl Von Clausewitz écrit en 1818 Théories de la guerre, un des ouvrages le plus connu de la pratique des négociations. Il donne des définitions de la guerre. Pour lui, la guerre est la continuation de la politique par d'autres moyens. Quand la politique entre états (diplomatie) ne fonctionne plus, on continu les relations par la guerre puis quand elle est finie, on revient à la diplomatie et ainsi de suite (...)
[...] Le XVIIème marque la fin des relations directes entre souverains, ces dernières devenant très rares. En 1629, Gustav Adolphe rencontre Christian IV mais c'est une rencontre personnelle. Au traité de Westphalie en 1648, il n'y a pas de rencontre entre souverains. La dernière exception est en 1659 dans les Pyrénées, Louis XIV et Philippe IV car ils doivent mettre en place une alliance familiale ce qui explique cette rencontre. Ainsi donc se met en place des ambassades itinérantes, c'est à dire qu'on investit une personne pour négocier avec des états ou des nations dans des buts particuliers. [...]
[...] La guerre offensive est mal perçue au XVIIIème, seule la guerre de protection justifie la violence. Dans cette optique, on essai de ne pas humilier l'adversaire vaincu, et de l'aider à se reconstruire en maintenant des liens étroits avec lui. Le XVIIIème, c'est aussi la naissance d'une idée d'équilibre européen. Les grands états s'équilibrent entre eux et les moyens et petits s'allient au plus grands. Pour conclure, on peut dire qu'à la fin du XVIIème et au cours du XVIIIème siècle, le souverain ne négocie plus personnellement, le pape n'apporte plus sa médiation et les traités sont des machines lourdes avec des négociations longues. [...]
[...] Ainsi les informations, les modèles circulent en permanence. On créé les ambassades plénipotentiaires : ce sont des ambassades temporaires avec les pleins pouvoirs pour négocier un traité lors d'un congrès. Ces ambassadeurs remplacent le roi ce qui est un grand honneur. Les ambassades nécessitent le choix mûrement réfléchi d'un personnel. On utilise d'abord les princes de sang car c'est un bon moyen de se débarrasser d'eux. C'est l'exemple des grands d'Espagne, ils ont plein d'honneur, de privilège et ils représentent le roi à l'étranger. [...]
[...] La pratique des négociations à l'époque moderne. Karl Von Clausewitz écrit en 1818 Théories de la guerre un des ouvrages les plus connus de la pratique des négociations. Il donne des définitions de la guerre. Pour lui, la guerre est la continuation de la politique par d'autres moyens. Quand la politique entre états (diplomatie) ne fonctionne plus, on continu les relations par la guerre puis quand elle est finie, on revient à la diplomatie et ainsi de suite. Au XIXème, on a donc un moment tranché ou l'on fait la guerre et ou on fait de la diplomatie. [...]
[...] C'est l'exemple de la création de la manufacture des grandes glaces du Faubourg Saint Antoine qui devient en 1692, la manufacture de Saint Gobain. Il faut faire des grandes glaces, mais on ne sait pas les comment faire donc on espionne et on débauche sur l'île de Murano, au large de Venise. Le personnel d'ambassade est composé d'honnêtes espions qui représentent l'extérieur et collectent des informations. Le problème est de ne pas se faire repérer, or la société est cloisonnée, il faut donc une couverture. [...]
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