Le développement urbain est fort à partir de la deuxième moitié du XVIIIe siècle.
L'exode rural est surtout conjoncturel. En effet, avec les mauvaises récoltes et le manque de travail, la population vient habiter dans les villes en espérant survivre et avoir un travail dans les manufactures ou autre (...)
[...] Les grandes villes ne se sont pas formé durant la XVIIIe siècle, mais bien avant. On peut diviser en trois les catégories des villes : - Les grandes villes : Paris, Rouen, Lyon et Marseille. - Les villes moyennes (plus de habitants) : Orléans, Toulouse, Bordeaux, Nantes. - Les petites villes (plus de 30000 habitants) : Amiens, Caen, Angers, Metz. On voit bien que les principales villes de France, sont des ports ou des villes commerciales. IV. L'économie urbaine Les citadins contrôlent la majorité des terres : - La bourgeoisie contrôle des terres ; - La noblesse contrôle des terres ; - Le clergé contrôle des terres. [...]
[...] Enfin l'industrie se développe aussi. Lyon est connu pour son textile (même si le textille connait un relatif déclin). V. L'administration de la ville Les instances politiques sont présentes dans une douzaine de villes françaises comme Paris, Rouen, ou Rennes : on y trouve des parlements, des cours judiciaires, des présidiaux ou encore des tribunaux de bailliage. Cependant ce sont dans les plus importantes que sont installé les cours supérieures, la chambre des aides et la chambre des comptes. De plus les villes peuvent s'auto-administrer, c'est l'un de leur avantage. [...]
[...] Les rues cependant ne sont pas très lisses en effet il y avait encore beaucoup de trous, elles étaient très tortueuses. Mais l'éclairage nocturne à été installé. Dans les grandes villes sont installés de grands boulevards pour une meilleure circulation de la population et des marchandises. Dorénavant les cimetières sont déplacés hors du centre de la ville et des faubourgs. Des espaces verts apparaissent aussi à l'intérieur des villes. L'hygiène de vie a augmenté, même si avec l'entassement, l'insalubrité dû à un exode rural de plus en plus croissant, cela reste à relativiser. [...]
[...] Cependant se sont surtout les pauvres, les compagnons de métiers, les domestiques, les journaliers qui sont les plus nombreux. Les salariés s'appauvrissent, l'écart entre les riches et les pauvres s'agrandit. Le secteur le plus touché par ce phénomène est le textile. Les conditions ouvrières se dégradent, les règlements sont de plus en plus rigoureux, des femmes et les enfants travaillent de plus en plus et les salaires très bas. III. L'exode rural, une des causes du développement urbain Le développement urbain est fort à partir de la deuxième moitié du XVIIIe siècle. L'exode rural est surtout conjoncturel. [...]
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