L'ambiance à la cour de France est une ambiance de clans. Quand le mari de Catherine de Médicis meurt, cette dernière va prendre sa revanche. On va alors se rendre compte de son intelligence. On la redoute parce qu'elle est mystérieuse. Elle a tenté de réconcilier Catholiques et Protestants mais elle a échoué, car on lui a mis des bâtons dans les roues. Sa grande revanche sera ses fils : François (mort à 17 ans), Charles IX (qui règne) et Henri (qui gouverne en Pologne). Charles IX est faible d'esprit. Il se sent mal à la cour et finit par s'en détacher. Il quitte Paris et se met à chasser (...)
[...] Il meurt fou d'angoisse, de remords, d'une tuberculose. Du coup, Henri de Pologne doit choisir : ou il reste en Pologne, ou il vient régner en France. Il choisit bien sûr la France et règne sous le nom d'Henri III. Il est homosexuel et le montre. Cela le fait considérer comme le pire des hommes. Il est très intelligent et tolérant et veut la paix. Il fait assassiner le Duc de Guise et dira de ce dernier : Il est encore plus grand mort que vivant Un moine va lui donner des coups de poignard qui le toucheront au foie. [...]
[...] Cela crée un scandale à la cour. Les gens montent la tête à la reine. Cela augmente les peurs pour Catherine de Médicis de perdre son fils et en même temps le pouvoir. Un jour, elle apprend que Coligny essaie de convaincre Charles IX de faire la guerre à l'Espagne, qui est un pays puissant. Elle est affolée et essaie de le raisonner. En vain. Elle décide alors d'agir : elle veut tuer Coligny en envoyant des spadassins dessus qui le poignarderont. [...]
[...] Massacres dans la rue, dans le Louvre, partout. Au cœur de ces massacres : Henri de Navarre. Il va devoir la vie sauve au sang-froid de sa femme, la Reine Margot, qui va faire croire aux assassins que son mari est absent. Les spadassins se dégonflent alors et partent. Henri de Navarre retourne à Navarre et se jure de ne plus jamais retourner à Paris. Conséquences : Entre morts (pour les catholiques) et morts (pour les protestants). Paris est heureuse parce qu'elle s'est débarrassée des protestants. [...]
[...] Sa grande revanche sera ses fils : François (mort à 17 ans), Charles IX (qui règne) et Henri (qui gouverne en Pologne). Charles IX est faible d'esprit. Il se sent mal à la cour et finit par s'en détacher. Il quitte Paris et se met à chasser. Il rencontre alors Coligny, un homme de guerre protestant. Charles IX voit pour la première fois un homme qui lui parle franchement, ne ment pas. Il crée avec lui des liaisons fortes et une confiance absolue. [...]
[...] III) Le prétexte : Le mariage entre la Reine Margot et Henri de Navarre (protestant). Henri de Navarre hésite d'abord et a peur d'aller à Paris. Sa mère va à Paris pour tester la capitale et, là-bas, elle meurt de la tuberculose. Malgré tout, il accepte à condition qu'il vienne avec ses amis : protestants ! De Guise et Catherine de Médicis vont se servir de ce mariage pour tuer les chefs protestants, qui va en fait être un massacre. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture