Le roi Louis XV est très beau, mais dépressif, car il a très peur de la mort. Il est morbide donc sa femme devra sans cesse lui redonner goût à la vie. Il plaît aux femmes et celles-ci doivent le conquérir. Il devient roi à 5 et est sacré à ses 12 ans. Il a déjà perdu toute sa famille, c'est donc un enfant qui a des charges de roi. Il manque réellement d'affection à cause de la mort de ses parents (la duchesse de Bourgogne Marie-Adélaïde de Savoie et Louis de France, duc de Bourgogne) et de son frère aîné. Le roi sera élevé par sa nourrice Madame de Vatendour. Il a reçu une éducation religieuse et sera très attaché à son précepteur le cardinal de Fleury et à son premier ministre, le duc de Bourgon. Par conséquent, il regrette sa vie de débauche, mais ne peut s'empêcher malgré tout de vivre comme ça. Il est malgré tout surnommé « le bien-aimé » par son peuple. C'est un libertin et un grand sensuel.
1745-64 : Le roi n'est plus le bien-aimé. Opposition entre le clergé et le parlement (qui critique l'absolu). Il est de plus en plus impopulaire notamment en raison de la Pompadour. En résulte la fronde qui exprime la voix du peuple.
[...] Les ennemis de la Pompadour À Versailles, il existe deux clans : ceux qui respectent et ceux qui jalousent la Pompadour. Bien sûr, parmi les ennemis de la Pompadour, on peut compter la famille royale : la reine (malgré le fait que Madame de Pompadour veut plaire à la reine et force le roi à s'occuper de sa femme, l'entente entre les deux femmes est meilleurs qu'avec les précédentes maîtresses royales), les 6 petites princesses qui surnomment la Pompadour Maman Putain le dauphin qui lui a tiré la langue lors de sa présentation à la reine (il l'avait déjà fait lors de la présentation de madame de Châteauroux) et la première dauphine espagnole qui dit lors d'une promenade que si la Pompadour tombait à l'eau, elle retournerait à son élément. [...]
[...] C'est un scandale, car la Cour est censée être réservée aux plus anciennes familles nobles de France. Pour y entrer, il faut amener beaucoup de présents, avoir un titre et être présenté à la reine. Or, pour ceci, il faut avoir une marraine et personne ne voulait parrainer la jeune marquise de Pompadour. Par conséquent, le roi promet à la duchesse de Oyrières de Ponty d'annuler la totalité de ses dettes de jeu si celle-ci acceptait de tenir ce rôle. [...]
[...] Il n'a alors vu que son portrait. C'est véritablement incroyable pour la jeune fille. Le 27 mai 1725, le roi annonce sa décision de se marier. À Strasbourg, par procuration, elle épousera le roi. Le 5 septembre 1725, le mariage a lieu au château de Fontainebleau. Le roi à 15 ans, Marie en a 22. La jeune fille est très critiquée, car elle n'est même pas d'une grande famille polonaise. Son père est un roi déchu et ils ont toujours vécu en exil. [...]
[...] Élisabeth sera la seule à se marier et deviendra duchesse en Espagne. Les autres resteront à Versailles, car il leur faut une dot très importante et le royaume n'a pas les moyens. En effet, la France est un pays très important. De toute manière, les jeunes filles n'ont absolument pas envie de se marier, car elles sont habituées aux richesses de Versailles. Les filles restantes seront de vieilles filles qui se feront censeures de la morale et n'auront de cesse de critiquer Marie-Antoinette, la femme de leur neveu. [...]
[...] Le couvent de la reine à Versailles sera une des créations qui lui vaudra son appellation notre bonne reine Il s'agit d'une œuvre charité destinée aux jeunes filles désargentées de la cour. La reine vivra dans une grande piété et vivra beaucoup de la musique, elle invitera notamment le compositeur Mozart à Versailles. Sa passion de la musique est partagée avec son père Stanislas devenu duc de Lorraine. Mariage entre Louis XV et Marie Leczinska Louis XV est déjà fiancé à 11 ans à une jeune fille de 3 ans. Mais il est très pressé. [...]
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