La réforme protestante du début du XVIe siècle est un ancien déclencheur des guerres de religion. Commencée aux alentours de 1517, la réforme remet en cause l'Eglise catholique Romaine qui, depuis la chute de l'empire Romain d'Occident, prend de plus en plus de puissance et qui engendrera même l'Inquisition et les Croisades.
Ainsi, à partir du XVIe siècle, des théologiens tels que Martin Luther, Théodore de Bèze ou Jean Calvin décident de remettre en cause cette Eglise ce qui a donné naissance au protestantisme. Une division commence donc dans le royaume mais également s'étend à l'Europe (...)
[...] Cependant, l'édit de Nantes met un terme à ce conflit en arrêtant les haines envers les protestants et en voulant rétablir une paix et une stabilité dans le pays. [...]
[...] Introduction La réforme protestante du début du XVIe siècle est un ancien déclencheur des guerres de religion. Commencée aux alentours de 1517, la réforme remet en cause l'Eglise catholique Romaine qui depuis la chute de l'empire Romain d'Occident prend de plus en plus de puissance et qui engendrera même l'Inquisition et les Croisades. [...]
[...] I. Un contexte religieux : entre peur et division - la réforme divise l'Eglise catholique et voit l'apparition du protestantisme - différentes fois entre les deux : protestants : le protestant n'accepte que la vérité de la Bible dans laquelle il puise les volontés divines (Calvin + Luther) alors que le catholique puise aussi les vérités dans les évangiles ou dans le clergé qui arrivent à manipuler les fidèles. [...]
[...] En France, cette division religieuse est inacceptable et de réelles guerres civiles faites de massacres et de violences extrêmes vont apparaitre en 1562. Les guerres de religion sont donc un aboutissement d'oppositions latentes. [...]
[...] La période est longue et complexe car on y trouve les intérêts de la noblesse qui se sent délaissé dans ce contexte. Ainsi, cette période est parsemée de crises graves et il faut donc comprendre comment les huit guerres de religion s'articulent de façon violente entre la peur du peuple vis-à-vis de la religion et les intérêts des nobles qui manquent selon eux de reconnaissance. [...]
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