Un dénommé Chalmers Johnson, écrivain américain et professeur dans l'université de Californie dit : « La révolution peut toujours être évitée si l'on sait utiliser toutes les possibilités de l'organisation politique. » Ces possibilités dont il nous parle, le roi Charles Ier n'a pas su les percevoir, ni même ses conseillers dans les années 1639 – 1642. En effet l'effondrement gouvernemental de 1640, n'est du sans nul doute qu'aux conséquences de la prise de décision par le monarque et par William Laud dont nous reparlerons plus tard...
[...] Buckingam, ce jusqu'à sa mort ne fit qu'attiser ces remontrances, en vendant des charges et des titres au plus offrant. Ainsi, du haut en bas de l'échelle sociale, tous ceux qui ont quelques bien sont brimés, et l'ignorance des textes est telle que chacun peut se demander jusqu'ou va son droit, et jusqu'à quelles conséquences peut aller sa faute. L'accumulation d'exigence nouvelle, d'une part, de ressentiment de l'autre, résultent les incidents qui marquèrent la levée du ship money entre 1634 et 1636. [...]
[...] Il suggéra en 1628, de rédiger La petition of right. C'était ainsi que l'on appelait une requête adressait au roi par les particuliers qui croyaient avoir à se plaindre d'actes ou de décisions arbitraires. Jusqu'ici le parlement n'en avait jamais présenté, les vanatages de la procédures étaient multiples, ils offraient un cadre commode pour l'ennoncé de griefs, et la définition du droit, il se prétait à l'insertion d'explication, de discussions, de précisions, ils étaient de nature à emporter l'adhésion de la majorité, et le roi enfin était obligé de répondre par écrit, et son approbation transformait ses promesses vagues en garanties positives. [...]
[...] Tous les moyens impossible et inimaginable fut mis en place pour les réduires au silence. Le lamentable échec des éfforts acharnés déployés au même moment par Laud pour faire appliquer les lois qui interdisaient l'impression et la publication de tout livre sans autorisation constitue un fait non moins frappant. Durant les années 1630, au moment où la répression commençait à être intense, 1/3 seulement des livres publiés avaient obtenues une autorisations régulières. Tout ce qu'il put faire, c'est seulement punir avec brutalité une poignée de contrevenants, ce qui ne servit qu'à exaspérer les autres. [...]
[...] Le puritanisme est peut-être plus simple à définir, Christophe Hill lui donne la signification suivante : Le puritanisme assume des contours politiques, il se confond avec une idéologie d'opposition à la cour. A son paroxysme, on retrouve l'arminianisme qui n'est guère facile à saisir ou analyser. L'arminianisme est une doctrine protestante fondée à la fin du XVI e siècle par Jacobus Arminius, soutenant que Le salut n'est accessible que par la grâce seule. Dieu accorde son salut à ceux qui acceptent de croire au sacrifice expiatoire et à la Seigneurie de Jésus-Christ. [...]
[...] Le grief qui était fait à Laud de mener l'Angleterre vers le papisme, reposait sur une série de faits apparemment très inquiétant : comme par exemple pour citer d'autres événement, la nomination à de hautes fonctions ministérielles,(cf ligne 13) de laïcs catholique comme un dénommé Windebank. (1582-1 Septembre 1646) On pourrait citer aussi l'animosité qu'à susciter l'alliance de bonne entente de la papauté avec la royauté, où bien encore l'influence qu'à pû avoir la reine catholique sur l'organisation de la politique religieuse. [...]
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