COLONISATION ; conquista ; amérique latine
Ceci est un exposé fait à partir du livre '' les veines ouvertes de l'Amérique latine" d'Edouardo Galéano mais aussi d'autres sources historiques. Il relate les causes et conséquences et la colonisation en Amérique latine, d'un point de vue historique et économique.
en voici un extrait :Au premier chapitre, Galeano commence par décrire la premier traversé de Christophe Colomb, en rapellant ses buts. En effet, cette expédition avait pour objectifs de trouver un accès direct aux épices afin de «se libérer de l'onéreuse chaine d'intermédiaire et de revendeurs qui accaparaient ce commerce». Cependant, ce n'était pas l'île de Cipango qu'ils foulaient, comme avait pu croire Colomb lorsqu'il pose les pieds aux bahamas, mais bien une terre inconnue.
Dès lors les expéditions prirent un autre caractère, Galéano cite Bernal Diaz del Castillo, fidèle compagnon de Cortès, écrivant qu'ils sont venus en Amérique «pour servir Dieu et Sa majesté et aussi parce qu'il y a des richesses». Del Castillo résume ici les trois buts qui vont maintenant motiver les expéditions.
[...] La conquête et la colonisation ibérique: La mise en place d'une dépendance. 1)Exploration et appropriation de ce nouveau monde. Au premier chapitre, Galeano commence par décrire la premier traversé de Christophe Colomb,en rapellant ses buts. En effet, cette expédition avait pour objectifs de trouver un accès direct aux épices afin de «se libérer de l'onéreuse chaine d'intermédiaire et de revendeurs qui accaparaient ce commerce». Cependant, ce n'était pas l'île de Cipango qu'ils foulaient, comme avait pu croire Colomb lorsqu'il pose les pieds aux bahamas, mais bien une terre inconnue. [...]
[...] A partir de là, on faisait venir des esclaves et on dévellopait uniquement cette culture. Cependant pratiquer la monoculture sur un territoire aussi vaste est dangereux, en effet, cette zone naturellement destiné à la production agricole devint une zone de famine: « le latifundo sucrier au joug destructeur ne laissa ke rocs steriles, sols nus et terres erodés ».En effets, les autres cultures comme celle de d'orangé ou de manguier furent abandonnées et les brulies qui ouvraient les terres aux plantations de cannes dévasterent la vie végétale et animale, et la culture extensive épuisa rapidement les sols. [...]
[...] De plus, sauf exception (Colomb, Davila et Magellan) les expéditions de conquête n'étaient pas prises en charge par la royauté, mais par les conquérants eux même, d'où la recherche de richesse pour que leurs investissents leur rapportent. En somme, et là je cite Galéano «l'épopée des Espagnols et des Portugais en Amérique combina la propagation de la foi chrétienne avec l'usurpation et le pillage des richesses naturelles». Après avoir fait un bref récapitulatifdes découvertes, Galéano décrit l'appropriation de ce nouveau territoire par les occidentaux et il s'attarde sur la prise de Mexico par Hernan Cortes. [...]
[...] Les conséquences de ces exploitations massives de minerais sont des désastres écologiques, humains et économiques. En effet, à Potosi comme à Vila Rica de Ouro Preto, l'espérance de vie des mineurs était de quelques années seulement, les exploitants miniers méprisaient la culture de la terre et ces régions si riche connurent la faim Ces deux régions ont eu le même avenir, elles ont enrichie l'europe, donnant naissance au capitaliste mais toutes deux, après les fastes, l'opulance et la prospérité connurent une misère sans précedent dès lors que les carrieres s'épuisaient Aujourd'hui elles ne sont que l'ombre d'elles même, des batiments en ruine ou leurs habitants vivent dans la pauvreté. [...]
[...] Les conséquences se font encore sentir de nos jours. Comme nous le mentionne Galéano le nord est du bresil est actuellemnt la région la plus sous devellopée de l'hémisphère nord. Gigantesque camp de concentration pour 30 millions de d'individus, il supporte aujourd'hui l'héritage de la monoculture du sucre A l'histoire du sucre, présente aussi à Cuba, il faut ajouté «celle du cacao qui remplit les coffres de l'oligarchie de caracas,du coton de maranhao qui brilla bursquement et déclina tout aussi vite, des plantations de caoutchouc en Amazonie, devenu des cimetières pour les ouvriers du Nord Est. [...]
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