Au Moyen-Age, les villes n'étaient pas très développées, il y avait seulement une cathédrale et une église autour de la résidence de l'évêque, à côté du château du seigneur on retrouvait des échoppes et des ateliers d'artisans. Au cours des siècles, il y a eu un essor urbain. Les villes se sont développées à côté des voies de communication et ont voulu développer leurs activités économiques, politiques et culturelles à la place du pouvoir religieux (...)
[...] Tout cela va donc mener à la Révolution industrielle. A la fin du 18ème siècle, on retrouve une grande pauvreté dans les campagnes. Ils connaissent la famine et une grande fureur contre les seigneurs. Les campagnes deviennent alors dangereuses : vols, incendies III. La transformation du pouvoir politique L'évolution de la société et des mentalités va donc mener à une explosion révolutionnaire Les caractéristiques de la monarchie absolue Au Moyen Age, le roi partage le pouvoir avec le Clergé et les seigneurs qui règnent sur la région entière. [...]
[...] La population urbaine augmente, beaucoup de paysans veulent aller en ville, mais les villes sont trop petites pour acceuillir tant de gens. On va donc se retrouver dans une situation insalubre par manque d'eau et d'égoûts. Au 18ème siècle, les pouvoirs publics vont adapter la ville à la population. Ils vont donc construire de nouveaux batiments, de nouvelles infrastructures ainsi qu'un ravitaillement pour les villes. La capitale va développer le pouvoir politique et religieux (archevêques). Les villes continuent à avoir un pouvoir économique important surtout avec les ports. [...]
[...] C'est l'activité commerciale qui assure l'approvisionnement alimentaire et les matières premières. Les villes vont vendre aux campagnes et à l'étranger leur production. Et d'un point de vue social, les villes deviennent importantes surtout en ce qui concerne la bourgeoisie. On retrouve différentes strates de bourgeoisie : Les professions libérales, les banquiers, et les riches négociants. A la fin du 18ème siècle, les familles riches se rapprochent des familles aristocratiques. La petite bourgeoisie se définit par l'ensemble des commerçants les moins riches, les boutiquiers et les chefs d'ateliers. [...]
[...] L'Aristocratie est la fonction qui se bat pour protéger le royaume. Le Clergé est constitué par membres qui rendent le culte à Dieu. Et le Tiers Etat comporte 24,5 millions d'habitants : sa fonction est de produire. Tous veulent abolir les privilèges des deux autres ordres car il y a de grandes différences entre chaque ordre. On retrouve une classification inégalitaire mais elle est considérée comme naturelle et donc elle est acceptée par tous La réalité sociale à la fin de l'Ancien Régime Il y a un décalage entre la hiérarchie sociale et la réalité sociale. [...]
[...] On retrouve un divorce entre les ordres de l'Ancien Régime et les classes sociales émergentes. L'Aristocratie se crispe sur ses privilèges et les bourgeois s'enrichissent et investissent. Ils ne veulent pas se rapprocher des classes populaires mais de l'aristocratie. Conclusion Des populations restent mécontentes. Pour les paysans et les ouvriers, la pauvreté s'est aggravée par des mauvaises récoltes avant la révolution française. Le bas clergé rejoint les révolutionnaires et le Tiers Etat. La bourgeoisie ne veut pas être reconnue juridiquement. La réalité sociale de 1789 ne correspond plus aux institutions mises en place. [...]
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