Le pouvoir royal arrive au XIIIe siècle à prendre une place dans l'ensemble institutionnel. Au XIIIe siècle ont peut entrevoir un équilibre institutionnel où le Roi subsiste comme un organe de coordination, on y retrouve les ordres que sont le Clergé, la Noblesse et le Tiers état connu aussi sous l'appellation de roturiers.
Lors des crises et conflits durant les XIVe et XVe siècles, l'organisation de la société médiévale va être bouleversée ; et c'est au travers de ces crises et conflits que l'on verra apparaître les institutions classiques de la monarchie (...)
[...] Le Parlement souhaite conserver à tout prix ses privilèges, Louis XVI prend conscience de l'opposition du gouvernement et décide de le dissoudre. Plus tard Louis XVI, accompagné de l'Amoigon va réformer le Parlement, l'Amoignon propose un démantèlement du Parlement de Paris ce qui sera considéré comme un coup d'Etat. La société de l'Ancien régime connaît des blocages politiques et sociaux. Les pensées des philosophes des Lumières tentent de changer la situation en publiant des brochures comme celle de l'Abbé Sieyès, ce qui conduira à la chute de l'Ancien régime, lors de la révolution de 1789. [...]
[...] B - Un roi divin Le Roi tire sa légitimité par Dieu, s'il fait des mauvaise choses il rendra des comptes lors du jugement dernier, c'est la théorie du pouvoir divin. Le Roi peut faire des ordonnances, sans aucunes limitations. Il peut faire le lit de Justice (se présenter lui même au Parlement pour bloquer un acte). Donc le roi possède tous les pouvoirs, il ne semble pas avoir de limite. II UN ABSOLUTISME REMIS EN CAUSE A - Un Parlement plus autonome Le statut définitif du Parlement date du XVe siècle. Les Parlements ont le droit de remontrances et d'enregistrement et ils ont acquis un certain pourvoir réglementaire. [...]
[...] Ils ont des privilèges fiscaux, notamment dû à leurs fonctions militaires, beaucoup exerce dans la Justice, ils ont des responsabilités administratives. On distingue la haute Noblesse que l'on retrouve auprès du Roi à Versailles, la Noblesse de province et la petite noblesse connu sous le nom de gentilhomme. Le Tiers Etats représente 98% de la population, il exprime toute la diversité sociale, le point commun est qu'il n'appartienne pas aux ordres privilégié. On y retrouve la bourgeoisie, les commerçants, artisans et beaucoup de paysans. [...]
[...] La société d'Ancien régime, une société bloquée ? Le pouvoir royal arrive au XIIIe siècle à prendre une place dans l'ensemble institutionnel. Au XIIIe siècle ont peut entrevoir un équilibre institutionnel où le Roi subsiste comme un organe de coordination, on y retrouve les ordres que sont le Clergé, la Noblesse et le Tiers Etats connu aussi sous l'appellation de roturiers. Lors des crises et conflits durant les XIVe et XVe siècles, l'organisation de la société médiévale va être bouleversée ; et c'est au travers de ces crises et conflits que l'on verra apparaître les institutions classiques de la monarchie. [...]
[...] A cela s'ajoute les frais de Versailles qui sont considérables, ou encore les dépenses de la guerre. B Des idées libérales Des réformes sur le plan idéologiques se forment, comme revoir le système fiscal. Le Roi s'entoure de personne compétente comme Turgot, qui en 1774 va faire adopter les édits libéralisant le commerce des grains, puis en 1775 il propose un impôt faisant payer tous les propriétaires même les nobles et Clergé, mais le Parlement chargé d'enregistrer l'édit, le dénonce comme subversif de l'ordre social existant, il ‘appui sur la pensée de Loiseau Si l'état des personnes n'était pas distingué, il n'y aurait que désordre, confusion Louis XVI, très influençable, écarte le projet de Turgot. [...]
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