Sociétés rurales, sociétés urbaines, société, urbanisation, ville, campagne
Rurale par un cadre de vie qui est celui de la paroisse et de la seigneurie à la fin du XVIIIe siècle qui est à la fois l'unité de base économique, culturelle... et l'espace ou s'exerce les droits seigneurie : la justice, les droits de ban... Le premier XIXe siècle reste donc majoritairement rurale et ce jusqu'aux années 1940.
[...] Et à l'intérieur de ces quartiers une ségrégation sociale, avec un embourgeoisement des centres villes et le report en banlieue des populations les plus modeste. Le qualitatif fait évoluer le corps de la ville elle-même ( toute une révolution urbaine et notamment culturel produite par la ville. [...]
[...] On est sur des valeurs qui oscillent entre la moitié et les deux tiers. La décrut s'amorce à partir d'un apogée démographique que l'on peut situer dans la décennie 1840. Cela s'explique par la transition démographique qui s'amorce à la fin du XIXe siècle dans un cadre rurale, où la natalité bouge peu alors que la mortalité commence à décroitre. Il faut toujours un délai pour modifier les comportements démographiques individuels, l'inertie démographie est difficile à contrôler. Ce trop-plein démographique va être traité en interne, mais aussi à partir des années 1850 par l'exode rural. [...]
[...] Ces chiffres augmentent de 1850-2000 : le nombre de citadins augmente, des villes plus grandes plus peuplé par des biais assez variés : une part au compte de l'augmentation de population de villes anciennes, villes qui augmentent jusqu'à atteindre des niveaux contemporains (on se met à compter en million la population) ce qui suscitent des interrogations. Dans cette urbanisation il y a une part de villes anciennes qui accroit leur urbanisation. L'autre part provient de l'apparition de villes nouvelles, c'est ce qui à frapper les contemporains. Certaines apparaissent en liens direct avec l'industrialisation qui multiplie sa population par 10 entre la fin du XVIIIe et le début de la première guerre mondiale (220 000) ( villes champignons. Dans la même catégorie nous avons Liège ( en en 1910). [...]
[...] Les dynamiques démographiques fonctionnent par afflux et par accroissement naturel. Tout ça appuyé sur le besoin de mains œuvre de la ville et de l'industrie. A côté de ces besoins objectifs de la croissance urbaine, la croissance urbaine est la levée de moyens techniques : le chemin de fer permet l'arrivé en ville des immigrants venue du plat pays Le chemin de fer élargie la possibilité d'approvisionnement des villes, en donnant la possibilité de faire vivre dans ces villes une population nombreuse( plus de limite matériel de la croissance urbaine. [...]
[...] Le peuplement relatif des campagnes n'est sensible qu'à la fin du siècle. Les ruraux n'ont pas fait l'objet comme les citadins de recherches de scientifiques, de philosophes, de sociologues Il y a un miroir déformant au profit de la ville. Les sociétés du XIXe siècle sont des sociétés avant tous peuplé de ruraux. L'urbanisation La ville en soit comme espace n'est pas un trait de la modernité industrielle. La ville n'est pas nécessairement liée au XIXe siècle à l'industrie. Des villes vont se développer sans l'industrie. [...]
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