Richelieu, Languedoc, guerres de Religion, Monpellier, guerres de Rohan
« La moitié de Montpellier est toujours catholique, surtout le bas peuple et les gens de la campagne ».
Platter arrive à Montpellier à la fin des guerres de religions. Estimation numérique 35/40 mille habitants (moitié protestant et moitié catholiques)/ les catholiques sont de petits gens, bas peuple. Mails il y a des familles de notable catholique très influent à Montpellier. Il y a des chefs de familles qui prétendent s'imposer à Montpellier et font partie d'un conseil qui répartie les impôts. Platter rend bien compte de la tension qui existe entre les catholiques et les protestants à Montpellier à travers son texte.
[...] Exécution sommaire des notables pour calmer les restes de la population, répression très nette. La ville de Privas à résister, donc pour la punir ils ont tout saccagé, il y a un sacre de Privas, pillé et brûlé. Malgré les talents militaire de Rohan ceci été dérisoire à son pouvoir. L'édit de grâce d'Alès ou paix d'Alès 1629 Cet édit de grâce clôture l'édit de Nantes, qui ne traite pas égale à égale, le roi fait grâce à ses sujets. [...]
[...] Les guerres de Rohan (1621-1629) Le duc de Rohan C'est le responsable militaire du parti huguenot (chef). Très curieux et intéressant, (1519-1638), ce n'est pas un languedocien, mais un descendant de Rohan (famille breton), qui est une famille de protestant de la très haute noblesse. Leur devise : Roi de pui, prince de dem Sa fortune politique il la doit à Henri IV, très jeune il est associé à la vie de roi, compagnon d'Henri IV de très jeune âge. [...]
[...] Idée de irénique, les protestants sont dans le faux chemin, donc il faut les reconvertir avec des discutions et les persuader et doivent faire un. 3ème disposition : détruit parti protestant, donc pas de politique, on pas le droit d'entretenir des garnissons, des places fortes, des troupes. C'est la fin des privilèges politique, donc ce n'est plus un corps à part. ( Donc en Languedoc commence une destruction des fortifications, Richelieu envoie en Languedoc un intendant Miron avec une lettre de commission, avec la charge de faire l'inspection des lieux et de détruire les forteresses. [...]
[...] Richelieu se méfie de cette ville rebelle, donc surveille les portes de cette écusson en cas de révolte, les tires des bastions vont les foudroyer. Les Montpelliérains ont toujours étaient gêné de la cathédrale, donc ils ont un projet de construire une cathédrale au sommet de l'écusson et non en bas. Richelieu n'est pas d'accord car il a peur des protestants, qu'ils utilisent la cathédrale comme une forteresse et défie la citadelle. Le renouveau catholique Sous Louis XIII, les ordres monastiques ont réinvestie le centre de la ville c'est-à-dire l'écusson. [...]
[...] Il devient rebelle à cause de sa déception ? Ou disgracié ? Ou le fruit de sa religiosité, il est attaché au protestantisme ? Il devient le traitre du roi et pactise avec Jacques 1er, roi d'Angleterre. Excellent chef de guerre, laisse un traité militaire, ou il analyse l'armée de l'époque. Termine sa vie en exile, se met au service de la ville de Venise, devient chef militaire, et rentrera en grâce, car Richelieu lieu confie une mission et il est tué en 1638 lors de sa mission pour la France. [...]
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