Restauration manquée, fausse république, septennat, lois constitutionnelles de 1875, affaire du drapeau Blanc, Thiers
Le 17 février 1871 à Bordeaux, l'assemblée nationale choisi Thiers pour être le chef du pouvoir de la république. Mais ceci en attendant qu'il soit statué sur les institutions de la France. La question constitutionnelle est donc à jour. Thiers ne doit cependant pas s'occuper du débat constitutionnel, mais uniquement à rétablir l'équilibre interne et externe de la France : pacte de Bordeaux. On assiste à la mise en place d'une fausse république.
31 août 1871 : loi Rivet : donne à Thiers le titre de président de la république (cependant toujours de manière provisoire). Cette loi confie à l'assemblée le pouvoir constituant.
[...] - l'usurpation : 1830 : Luis Philippe a purement et simplement usurpé le trone de son cousin charles X L'arithmétique politique. Pourquoi en 1871 beaucoup d'électeurs se sont jetés dans les bras des monarchistes : parce que ces notables résignés à conclure la paix avec l'empire Allemand juillet 1871 : les républicains gagnent les élections complémentaires. Nouvelles élections partielles (trois ans plus tard) : les monarchistes se retrouvent donc en minorité. Il leur manque 40 voix pour pouvoir restaurer la monarchie. [...]
[...] La restauration dans les années 1870 était impossible : pourquoi diable en a t-no tant parler ? - du côté républicain : on a joué à se faire peur, à croire au risque bien réel de la monarchie, symétriquement les monarchistes finalement ont pris leurs séries pour des réalités : idée que l'histoire est cyclique, se répète Les cycles dans l'histoire n'existe cependant pas vraiment, et le cycle était finalement qu'une apparence. Certains royalistes y croient encore en 1875. Thiers : démontre la possibilité d'une république d'ordre et il a donc levé les appréhensions au niveau de la sécurité (la répression anti-communarde ne fait que conforter cette idée). [...]
[...] une fausse république le 17 février 1871 à Bordeau, l'assemblée nationale choisie Thiers pour être le chef du pouvoir de la république. Mais ce en attendant qu'il soit statué sur les institutions de la France. La question constitutionnelle est donc à jour. Thiers ne doit cependant pas s'occuper du débat constitutionnel, mais uniquement à rétablir l'équilibre interne et externe de la France : pacte de Bordeau. Ici donc mise en place d'une fausse république août 1871 : loi Rivet : donne à Thiers le titre de président de la république (cependant toujours de manière provisoire). [...]
[...] Cette fusion paraît pouvoir se réaliser - politique commune - la mise au point de Chambord. une politique commune ? Orléannistes : conservateurs légitimistes : traditionalistes Accord ? non, cependant à force d'être des amis de l'ordre beaucoup d'orléanistes s'étaient droitisés et symétriquement beaucoup de légitimistes s'étaient laissé influencer par leur siècle se libéralisant petit à petit ( Politique commune = politique de l'ordre morale. Tout d'abord il s'agit d'épurer les hautes sphères de la République de ses éléments républicains. [...]
[...] l'affaire du drapeau Blanc. Dans ses manifeste, le comte de Chambord ne cesse de se montrer intransigeant - décentralisation - garantie des liberté publique - il préconnise le contrôle des chambres - et l'utilisation du SU mais il refuse d'inscrire ces éléments dans la continuité de la révolution. Henri V ne peut pas abandonner le drapeau Blanc d'Henri IV Il refuse d'être le roi légitime de la révolution. de ce point de vue : ressemblance entre le compte de Chambord et le roi charles X. [...]
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