La Renaissance, Amérique, Christophe Colomb, 1492, Édit de Nantes, 1598, liberté de conscience, colonisation, expansion, territoires, XVIe siècle, innovation technologique, guerre technologique, seigneurie, monarchie, centre de pouvoir, Europe, religion, pouvoir catholique, guerre civile, Moyen Âge, cultures communes, justification morale, anglicanisme, droit du sol, liberté fondamentale, continent européen, médecine, sciences, littérature, nationalité, culture, Église, enseignement spirituel, protestantisme, humanisme, catholicisme, parole de Dieu, calvinisme, morale individuelle, art philosophique, dignité de l'homme, religion monothéiste, déterminisme de Calvin, droit, immoralité, illégalité, philosophie politique, être humain, être social, patrimoine, droit naturel, finalité, marxisme
Au XVIe siècle, toutes les problématiques qui ont germé au Moyen Âge se retrouvent et s'affinent. Rien de neuf n'apparaît au XVIe siècle ; au niveau des grandes problématiques juridiques, rien ne se passe. En revanche, le niveau philosophique est capital à cette période, car c'est là qu'apparaissent toutes les bases du droit tel qu'on le connaît à l'heure actuelle.
[...] L'acquisition des choses et la transmission du savoir se manifestent au niveau artistique par le fait que la technique est plus importante que le sujet. Il y a primauté de la technique sur le sujet ; la peinture sur toile apparaît, car le support permet plus. Apparaît aussi la perspective, c'est à dire que le tableau n'est plus centré sur le sujet, mais le tableau est composé de manière à mettre en avant plusieurs éléments, c'est-à-dire de commencer à créer du ressenti en plus de représenter quelque chose. [...]
[...] Par ailleurs, la seule liberté fondamentale qui a été accordée aux individus issus du continent européen, c'est la liberté de conscience par l'Édit de Nantes. Une guerre civile coûte cher, par conséquent, pour mettre à terme le coût de la guerre à l'intérieur de cette frontière alors qu'il fallait mettre les richesses dans la course aux territoires, on a accordé la liberté de conscience pour qu'ils puissent croire en la religion qu'ils voulaient. Exemple allemand, parce que par le traité d'Augsbourg, on laissait à chaque seigneur la possibilité d'embrasser la religion de son choix ; État fédéral, les valeurs qui étaient véhiculées dépendaient du seigneur. [...]
[...] Donc, pourquoi de nombreux de seigneurs se convertissent-ils au protestantisme ? On assiste à la récupération d'une religion pour des raisons pas louables par des seigneurs qui contestent le poids des impôts qu'ils doivent aussi bien au roi qu'à l'église, et qui se retrouvent par une justification philosophique pour pouvoir récupérer des richesses. Donc, le protestantisme a permis de donner une justification morale à la révolte de certains seigneurs contre l'ordre établit durant le Moyen Âge. Toutes les régions du Nord de l'Europe ont un sentiment commun contre le Sud et Rome. [...]
[...] La connaissance est un droit naturel, et sa transmission est naturelle aussi. La littérature prend avec Rabelais cette fonction, et lorsqu'on dit vulgariser des choses : Rabelais était vulgaire, il dit des choses vulgaires pour faire comprendre des choses. La littérature à cette époque a pour objectif d'assurer cette transmission et la volonté d'assurer la transmission qu'on retrouve en matière d'art à cette époque. Assurer transmission en matière d'art, c'est transmettre les connaissances qu'on a des disciples. Le but n'est plus de conserver son savoir dans son propre intérêt, mais de faire en sorte que le savoir se propage, c'est pour cela qu'un certain nombre de peintres s'appellent des maîtres, car non seulement ils ont vocation à créer mais aussi vocation à former. [...]
[...] La Renaissance - De l'Amérique de Christophe Colomb (1492) jusqu'à l'Édit de Nantes (1598) qui instaure la liberté de conscience Au XVIe, toutes les problématiques qui ont germé au Moyen Âge se retrouvent et s'affinent. Rien de neuf n'apparaît au XVIe siècle ; au niveau des grandes problématiques juridiques, rien ne se passe. En revanche, le niveau philosophique est capital à cette période, car c'est là qu'apparaissent toutes les bases du droit tel qu'on le connaît à l'heure actuelle. Institution politique et règles juridiques On observe un double mouvement à cette période. [...]
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