Protestants, Languedoc, règne de Louis XIV, révocation de l’édit de Nantes, guerre des camisards
Une grande partie de cette politique est entre les mains des autorités civiles (intendants et évêques. Basville va obtenir dans certains domaines des attributions qui relèvent des évêques, à qui il va donner des instructions de surveillance pour les N.C. Il les fait policiers pour les intendants pour contrôler les protestants. Des listes de famille sont contrôlées. Pouvoir de l'intendant empiète sur les évêques. Et des évêques vont être réticents, ils sont très sévères à l'égard des protestants, c'est aussi une des cause.la situation des évêques est liée à l'attitude religieux, car ce sont des évêques jansénistes. Ils refusent que l'on impose aux protestants une présentation sacralisée, à la messe, communion. 3ème raison ; il y a au plus haut niveau gouvernemental, une très large coopération avec le pouvoir royal et les autorités religieuses.
[...] Problème : car les protestants n'acceptent pas le mariage, comme un sacrement, ils sont contre, c'est aussi un acte civile, contrat fait à l'église. Et la transmission des biens aux enfants. Reconvertie, mais refuse le mariage à l'église et accepte mariage privée sans passer par l'église catholique. Donc obtient pas un certificat de mariage étant donné qu'ils tiennent les registres. Le curé ne peut pas délivrer un certificat donc pas d'existence légal pour une famille. C'est-à- dire, parents considéré comme concubinage, c'est une atteinte des bonne mœurs donc c'est une affaire des tribunaux, cette affaire tombe sur le coup de la législation, atteinte à la loi, ce qui fait que les enfants sont des bâtards et exclue de l'héritage. [...]
[...] ( Réprimer : Basville gout pour l'armée, sa répression va prendre des aspects : politique très répressif, utilise les dragonnades, amende qui est un tarif politique, les curés fournissent les listes, ceux qui assiste ou pas à la messe pour être punie d'amende. Ceux qui se mari clandestinement soit pratique protestant, c'est l'exécution et la galère. Basville a eu l'intention de déporté certains village et de les envoyer aux anglais, mais projet pas réalisé. II. Le comportement de la communauté des N.C L'exil. Une partie de la communauté protestante est partie, suite à la révocation de l'édit de Nantes. Mais combien ? Car cela appauvrie le royaume de France, Saint Simon fait polémique. [...]
[...] Vague de prophétisme présent dans le Dauphiné fin 17ème siècle 1680, il y a des cas de prophétisme avec une jeune bergère de 15ans qui se met à perler. Puis en 1690, ans le Rhône et en Ardèche même cas est attesté, ils sont nommé les inspirés gagne les Cévennes, discours de repentance, accompagné de la condamnation de l'église catholique, présence d'une puissance qui passe à la vengeance. Condamné par les autorités catholiques le prophétisme, pour eux c'est le diable. D'autres des signes de folies. [...]
[...] Les protestants en Languedoc pendant le règne de Louis XIV : De la révocation de l'édit de Nantes (1685) à la guerre des camisards (1702-1704) I. La politique de Basville à l'égard de la communauté des N.C (nvx catholique, nvx converti) Une grande partie de cette politique est entre les mains des autorités civiles (intendants et évêques. Basville va obtenir dans certains domaines des attributions qui relèvent des évêques, à qui il va donner des instructions de surveillance pour les N.C. [...]
[...] Beaucoup d'artisans sont partie aussi dans le domaine de soi et de laine, donc c'est un atout pour les pays d'accueil, car il y a transfert des savoirs faire, ils donnent leur savoir faire industrielle (Suisse). Ces entrepreneurs négociants, marchands fabricants, sont parti aussi ont les retrouves à Cadix, diaspora française contre les protestants présent dans certaines endroit, important à Cadix. Présence de trafic, donc cet exile a accentué ce négoce à caractère diaspora. Le temps des prédicants. La communauté protestante et primé du cadre religieux. Les protestants sans aucune formation théologique se sont substitué aux pasteurs, se sont les prédicants. [...]
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