Louis XIV, Louis XV, régence, Mazarin, Philippe d'Orléans, roi, Royaume de France, ordre monarchique, monarchique moderne, historiographie, succession royale
Louis XIV est le fils aîné d'Anne d'Autriche et de Louis XIII. Il naît en 1638 et est sacré en 1654. Il perd son père en 1643, après une longue phase de maladie : il est alors âgé de 4 ans. La question cruciale de la régence se pose alors à cette période. C'est le dispositif institutionnel qui intervient lorsque le Roi ne peut encore gouverner ou lorsqu'il est absent, c'est alors un membre féminin qui se voit remettre les rênes du pouvoir. On considère que, pour être capable, un Roi doit avoir passé l'âge de 13 ans. On fait traditionnellement appel à la Reine. Ces régences n'ont pas toutes le même poids politique, certaines femmes ont pu gouverner avec seulement quelques officiers de la Cour auprès d'elles.
[...] Il souhaite une société uniformément catholique. Louis XIV s'appuie sur des institutions culturelles pour affermir son pouvoir. Louis XIV a eu à soutenir un certain nombre de guerres dans lesquelles il s'engage de façon volontaire. On trouve des guerres éclairs, comme la guerre de dévolution, qui profite de la faiblesse de l'Espagne pour se servir en Espagne. La guerre de Hollande (1672 - 1678) montre une campagne militaire, avec une résistance acharnée des Hollandais qui inondaient les terres sous le niveau de la mer pour contrarier l'avancée des troupes françaises. [...]
[...] (Exemple : Pierre Mignard, l'un des artistes au service du Roi de France. On trouve des références à l'Antiquité, dans la période classique. On trouve Louis XIV en Apollon, en Alexandre ou au Roi de Perse) (Exemple : Jean Nocret, portrait mythologique de la famille de Louis XIV, ou Assemblée des dieux de Versailles. On représente la puissance de la dynastie de Louis XIV, là où ses parents ont mis 10 ans pour le concevoir. Des iconographies valorisent le fait qu'il possède une descendance, ainsi que son frère. [...]
[...] Spinoza est décrit comme « le prince des athées ». Ses écrits remettent en cause l'explication du système du monde par la création divine. Hazard identifie ainsi une première phase de cette crise de la conscience européenne, du fait des réflexions de lettrés, dans ce qu'on appelle à l'époque « la République des lettres » : C'est une image qui désigne une sorte de structure informelle, réseau de savants, gens de lettres, écrivains, théologiens. Ce réseau se construit à partir de la cohésion supposée de cet univers de lettrés. [...]
[...] Louis XIII pratique des alliances pragmatiques avec des princes protestants, ce que les dévots ne comprennent pas d'autant que Louis XIII est un homme très pieux. Louis XIII se sait mourant (malade toute sa vie) et s'efforce, lorsqu'il prévoit son testament, de limiter les pouvoirs de la potentielle régente son épouse. L'affaire est complexe, d'autant qu'il avait envisagé de nommer régent son frère Gaston d'Orléans. Anne d'Autriche a dû organiser un lit de justice au Parlement de Paris pour affermir sa fonction de régente. [...]
[...] Il perd son père en 1643 après une longue phase de maladie, il est alors âgé de 4 ans. La question cruciale de la régence se pose alors à cette période. C'est le dispositif institutionnel qui intervient lorsque le Roi ne peut encore gouverner ou lorsqu'il est absent, c'est alors un membre féminin qui se voit remettre les reines du pouvoir. On considère que pour être capable, un Roi doit avoir passé l'âge de 13 ans. On fait traditionnellement appel à la Reine. [...]
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