Pax Tokugawa, époque d'Edo, Tokyo, capitale politique des Tokugawa, chonin, samurais, être Edokko, Yoshiwara, Japon, époque de Meiji
Aujourd'hui l'image que nous avons du Japon est celle d'un pays extrêmement urbanisé, mais cela est très récent puisque cela date du XVIe siècle.
La ville de Tokyo était autrefois appelée Edo (jusqu'en 1868) et qui a une histoire assez récente comme la plupart des villes du Japon qui apparaissent généralement au XVIe et se développe par la suite. Les Japonais se plaisent à dire que la ville d'Edo était peuplée d'un million d'habitants au début du XVIIIe siècle et la présente comme la plus grande ville du monde, mais cela est peu probable. Cette ville est la plus grande ville du Japon à l'époque d'Edo et c'est la plus grande qu'ait connue le Japon avant l'époque de Meiji.
[...] Les plus riches populations de la ville d'Edo sont les marchands, ce qui entraine la création d'une bourgeoisie au sein des villes pour la première fois de l'histoire du Japon). Avant le XVIIe siècle il y avait deux méthodes de ventes pour les commerçants : soit les acheteurs commandent les produits et le marchand les apportent à domicile soit les acheteurs n'ont rien commandé et les marchands vont vendre chez les maisons. À partir de Mitsui Takatoshi, le commerce se fait dans les magasins ce qui constitue une révolution au Japon. [...]
[...] Il le fait et les 300 samouraïs qui étaient sous ses ordres se retrouvent sans maitre et 47 décident de se venger, ils attendent deux ans et en 1702 ils vont dans la résidence de Kira Yoshinaka et le décapitent avant de se livrer au Shogun qui ne sait pas quoi faire, le gouvernement d'Edo tergiverse donc pendant deux mois avant de leur demander de faire Harakiri, ce qu'ils feront chacun à un bout d'Edo. Dès le lendemain de l'affaire, de nombreux artistes s'en sont servi que ce soit dans le théâtre ou dans la littérature. La société d'Edo est une société de classe dans le sens où tout le monde vit et meurs dans une classe sociale. [...]
[...] L'Edokko passe pour parler la langue d'Edo. Sur le plan du comportement, l'Edokko passe pour être généreux, pour être dépensier, il vit au jour le jour et il serait détaché des affaires de ce monde, il aurait le sens des injustices, le gout de la compétition, le gout pour la concurrence. Il serait plutôt querelleur et il serait plutôt étourdi et naïf. Les plaisirs de la ville : les gens de la ville aiment les feux d'artifice, allé au restaurant, les spectacles de cabaret, les spectacles avec des infirmes ou des animaux bizarres. [...]
[...] Caractéristiques de ces quartiers : ils sont sur des terrains élevés afin d'éviter tous incidents comme les inondations, ils occupent une énorme superficie dans la ville du territoire de la ville alors qu'ils ne sont qu'une minorité dans la ville), ils possèdent souvent plusieurs résidences qui sont bien souvent dispersées dans la ville et le but étant d'impressionner, le système était construit afin de les affaiblir. Autres types de quartiers : Chonin (gens des quartiers pauvres) ce terme désigne tout d'abord tous les roturiers de l'époque (ceux qui ne sont ni nobles, ni guerriers, ni homes d'église, ni paysans) qui sont le plus souvent des marchands. Un chonin peut aussi être quelqu'un qui possède une maison et qui exerce une responsabilité administrative. [...]
[...] La Pax Tokugawa : Société, économie et culture de la ville d'Edo (des civilisations urbaines) Aujourd'hui l'image que nous avons du Japon est celle d'un pays extrêmement urbanisé, mais cela est très récent puisque cela date du XVIe siècle. La ville de Tokyo était autrefois appelée Edo (jusqu'en 1868) et qui a une histoire assez récente comme la plupart des villes du Japon qui apparaissent généralement au XVIe et se développe par la suite. Les Japonais se plaisent à dire que la ville d'Edo était peuplée d'un million d'habitants au début du XVIIIe siècle et la présente comme la plus grande ville du monde, mais cela est peu probable. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture