Partitions de la Pologne, état polonais, Khmelnitski, Ukraine, Suédois, république de Pologne, Russie, Turquie, Pruss, Autriche, système dans le Commonwealth, Prusse, raisons de l'intrusion
Le moment critique est venu en 1655, lorsque l'existence de l'État polonais a été menacée. Alors que les troupes russes s'emparent d'un vaste territoire lituanien et que Khmelnitski avance sur l'Ukraine, la Pologne est largement capturée par les Suédois.
[...] Les prix des denrées alimentaires ont augmenté. Varsovie est devenue l'une des plus anciennes villes d'Europe. Le mécontentement de la population a continué de croître et les actions de la paysannerie opprimée ont été répétées, soutenues par les mouvements de la bourgeoisie désaffectée. Il est arrivé à une situation où la seule solution a été vue dans le soulèvement. Et c'est ainsi que le 24 mars 1794, Tadeusz Kosciuszko annonça un soulèvement en présence du peuple polonais et de l'armée polonaise. [...]
[...] - Peur du renforcement de la Russie, qui réussissait alors en Lituanie. - L'émergence des encouragements que la Pologne menait maladroitement - Les guerres à l'Est. Pour résumer : la République de Pologne a mené pendant cette période des guerres avec trois pays : la Russie, la Suède et la Turquie. Ils ont infligé de grandes destructions à la Pologne. Toutes les petites villes et tous les villages ont été incendiés et les grandes villes ont perdu de nombreux monuments précieux, ce qui a affecté le développement culturel et économique. [...]
[...] Les pays étrangers ont surveillé de très près les actions de la Pologne. Parfois, ils se sont également ingérés dans ses affaires internes. L'Autriche, la Russie et la Prusse voulaient profiter des avantages de la Pologne, car elles ne voulaient aucun changement ou réforme dans le pays, elles voulaient voir un roi sur le trône polonais qui obéirait à ces trois pays. Selon leurs attentes, Auguste III devint roi. Les trois pays susmentionnés, avant même les élections, ont conclu entre eux un accord, appelé « Traité des trois aigles noirs », dans lequel ils se sont engagés à diffamer et à désigner conjointement chaque candidat au trône de la république. [...]
[...] Les raisons des partitions A. Première partition La première partition était, en fait, un acte courant de viol et de violence, elle a été menée non pas parce que la Pologne était dans l'anarchie, mais parce qu'elle a essayé de moderniser son organisation étatique, qui était le résultat d'une tentative impitoyable d'expansion. Affaiblie par la tourmente seigneuriale, l'armée polonaise se rendit sans combat et à ce moment-là, elle ne put même pas démontrer d'action. Ainsi, cette occupation se passa sans grande résistance. [...]
[...] Une censure sévère a été introduite et la libération des personnes les plus influentes a été suspendue. Les partisans de la Constitution du 3 mai ont été sévèrement persécutés. La Commission nationale de l'éducation est remise en cause, toute pensée progressiste est éliminée, surtout toutes les influences de la Révolution française. Pire encore, le Noble Reich croyait aux assurances des leaders du marché selon lesquelles la Grande Diète était la cause de ces énormes catastrophes qui ont frappé le pays. Mais tout ce zèle ne suffisait pas aux défenseurs. [...]
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