Napoléon, premier consul, empereur, cents jours, légende napoléonienne
Napoléon Bonaparte né à Ajaccio en 1769 c'est le second des huit enfants d'une famille reconnu noble par le roi après l'achat de la Corse par la France à la république de Gênes en 1768. On le destine à la carrière des armes et il est boursier du roi. Après une scolarité moyenne aux écoles militaire de Brienne puis de Paris il est nommé lieutenant en second en 1785. Il est plus attaché à sa patrie corse qu'à la vie de garnison. il passe la majeure partie de son temps en congé à Ajaccio.
Adepte des idées nouvelles il adhère à la révolution, si bine qu'il fait figure d'agitateur. Il est capitaine en 1792 mais il se brouille en 1793 avec le patriote pascal Paoli qui le chasse de l'île avec sa famille en mai 1793. C'est à ce moment là qu'il renonce à ses rêves de patrie corse et qu'il bascule dans le camp jacobin.
[...] Cette politique provoque un choc en retour, ce seront les réveils nationaux. L'effondrement du système sera du à la mégalomanie de Napoléon. Le roi de Rome naît en 1811 de Marie Louise archiduchesse d'Autriche nouvelle femme de Napoléon. Mais il vaincu à Leipzig en octobre 1813. Il abdique le 6 avril 1814. Son sénat se prononce pour Louis XVIII, le frère de Louis XVI. Partie 3 Un personnage de légende Sa chute n'est pas très glorieuse, il ne se satisfait pas de celle-ci. [...]
[...] On l'envoie en Egypte de 1798 à 1799. Elle permet de l'éloigner du directoire. Cela ne fait que retarder l'échéance. Le 18 brumaire il devient le chef de l'Etat. Partie 2 Le chef d'Etat Dans une proclamation célèbre, Bonaparte va annoncer " la révolution est fixée aux principes qui l'ont commencés, elle est fini". Le premier consul Sous le régime du consulat sont rétabli toutes sortes de chose. Rétablissement de la paix civile avec le concordat de 1801 signé avec le pape et l'amnistie pour les émigrés en 1802. [...]
[...] il devient chef de bataillon en octobre (commandant) et il définit la tactique qui permet de reprendre le port de Toulon le 19 décembre 1793. Cela lui vaut le grade de général (sans avoir été colonel); il est suspendu après thermidor puis réintégré mais il ne va pas rester très longtemps dans l'armée car on l'affecte en 1795 en Vendée. Il refuse de servir en Vendée et il est rayé des cadres. Néanmoins Barras le rappelle pour mater l'insurrection royaliste de vendémiaire. [...]
[...] Les français s'accommodent de ce régime. L'empereur aurait bien voulu gouverner les esprits mais il n'y arrive pas sa brouille avec le pape en 1807 y est pour beaucoup. Il est plus favorable à l'égalité qu'à la liberté. Il considère que els français partagent cette préférence. Mais ce n'est pas une Egalité jacobine, elle est basée sur la méritocratie. Il crée en 1808 la noblesse d'empire. C'est un titre simplement sans privilège. La France est reconstruite sur des bases durables. [...]
[...] Il apprend qu'il doit être déporté c'est pour ça qu'il débarque près d'Antibes le 1er mars 1815. C'est d'abord une aventure personnelle mais ce voyage de vingt jours prend une réalité politique en raison de nombreux ralliement successif. Il apparaît comme un antidote aux craintes des français suscités par la restauration. Sur la route de Paris il ne veut pas être le roi d'une jacquerie. Il procède à la première grande épuration administrative du XIXème siècle pour punir ceux qui l'ont trahit en 1814. [...]
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