Monarchie française, vie politique, christianisme, régence, ministériat, gouvernement, Choiseul, Louis XV
Le XVIIIe siècle a deux problèmes :
- Il apparait après le règne de Louis XIV. Voltaire écrit sur son règne, et on pense que le règne de Louis XV est inférieur pour plein de raisons.
- Il se termine par l'épisode révolutionnaire. Pour l'historiographie républicaine, la monarchie est vue comme quelque chose qui repousse. On a l'idée de l'effondrement de l'Ancien Régime, apportant des questions sur les origines de la Révolution.
De Maistre fuit en septembre 1792 l'arrivée des Français, et en 1802 il a déjà son livre « Considérations sur la France ». Dans les années 1750, le jansénisme pose la question de la monarchie, avec une vision austère et élitiste du Christianisme. Au XVIIIe, un autre jansénisme parisien populaire apparait. On a 2 à 3 milliards de dettes et la guerre correspond à la destruction des ressources et des économies des gens. On a aussi à étudier le jeu des pouvoirs qui sont importants, la « vie politique ».
[...] Louis XVI va essayer de tous donner, et a une liste des meilleurs personnes et les nomme au pouvoir. Les gens étaient écœurés du triumvirat autoritaire sous Louis XV. Le roi cherche un but politique pour l'aider et il trouve Maurepas. Il devient quasiment un principal ministre dès l'avènement de Louis XVI. Il dit de prendre aux affaires étrangères Vergès, d'origine dijonnaise récemment anobli. Turgot, troisième personnage, est un homme neuf. Maupeou est encore présent. Turgot est aimé des philosophes, a une expérience administrative d'intendant et était secrétaire d'Etat à la marine. [...]
[...] En réalité, la banqueroute fait que l'Etat ne va pas pouvoir rendre l'argent qu'il devrait, et une partie des dettes vont être effacées par le simple fait que les particuliers n'ont plus que du papier monnaie de moindre valeur qu'ils ne peuvent plus se faire rembourser. Louis XV est sacré le 14 octobre 1722. Le régent meurt assez vite. Le cardinal Dubois meurt en 1723 et le régent quelques semaines plus tard. L'enfant roi devient en théorie roi sans conseil de régence. A ce moment-là commence une seconde partie du « ministériat ». [...]
[...] Il négocie avec les parlements, qui étaient remontés et s'étaient saisis de tous les problèmes. Il recule à certains moments quand les parlements entrent en grève (Besançon en 1759, Aix et Toulouse avec des affrontements vifs). En réalité, les grandes réformes sont celles dans lesquelles il faut voir des concessions. Évidemment, il est jugé faible et ses adversaires sont épaulés par Madame du Barry, qui va faire appeler son grand rival Maupeou. C'est le président du Parlement de Paris, vice-chancelier (chancelier = ministre de la Justice) qui va œuvrer à la chute de Choiseul. [...]
[...] La monarchie française et le gouvernement du XVIIIe siècle Le XVIIIe siècle a deux problèmes : Il apparait après le règne de Louis XIV. Voltaire écrit sur son règne, et on pense que le règne de Louis XV est inférieur pour plein de raisons. Il se termine par l'épisode révolutionnaire. Pour l'historiographie républicaine, la monarchie est vue comme quelque chose qui repousse. On a l'idée de l'effondrement de l'Ancien Régime, apportant des questions sur les origines de la Révolution. De Maistre fuit en septembre 1792 l'arrivée des Français, et en 1802 il a déjà son livre Considérations sur la France. [...]
[...] L'affaire des enlèvements d'enfants est une des plus importantes. En 1750, la rumeur court que le roi fait enlever des enfants pour les envoyer aux Amériques. Le « gai » ou la police faisait ramasser les enfants qui trainaient dans la rue, mais on a une idée que le roi tuait des enfants et se baignait dans leur sang, catastrophique pour son image. Cela va très loin, et on va aussi avoir une opposition du clergé quand le roi souhaite relever le niveau du don gratuit. [...]
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