Libéralisme, révolution française, Burke, Paine, Tocqueville, libéralisme français, Benjamin Constant
Burke et Paine se trouvent au cœur de la réflexion sur la révolution française. Réflexion qui participe des représentations collectives que les anglais se font de la France.
E. BURKE et T. PAINE se trouvent au cœur de la réflexion anglaise sur la Révolution française, réflexion qui participe des représentations collectives que les anglais se font de la France.
Les représentations que l'on a sur d'autres pays sont souvent fragmentaires, sélectives voire caricaturales et les sentiments des anglais à l'égard de la France à ce siècle ne sont pas empreinte de cordialité. La France apparaît comme un pays papiste, comme le symbole de l'absolutisme et est présenté à cet égard comme en retard sur l'Angleterre.
[...] Le jeune Charles De Gaulle a lu très tôt Barrès. Les Barrès sont des amis personnels de la famille De Gaulle. La proximité idéologique tient à l'usage du référendum, mais aussi au culte de la terre de la patrie. Le Général doit ce qu'il sait des rapports France-Allemagne à Bainville. La référence à Péguy est plus sentimentale et religieuse, émotive, lyrique, comme témoigne l'inscription que le Général a fait inscrire sur le monument pour la France libre : « Mère, voyez vous fils qui se sont tant battus. [...]
[...] Il a œuvré en ce sens. Le coup d'État du 2 décembre conduit à a répression du radicalisme et certains radicaux vont s'exiler. A la fin du second empire, une nouvelle génération radicale émerge. B . GAMBETTA Gambetta, qui est avocat et adversaire acharné du second empire, défend en avril 1869, le Programme de Belleville qui apparaît, pour beaucoup, comme la première manifestation authentique du radicalisme : on y trouve l'instauration du Suffrage Universel. Gambetta prétend vouloir tout rapporter à la souveraineté du peuple et tout en déduire ; l'instauration de la liberté de la presse, de réunion et d'association ; la mise en place d'une instruction primaire, laïque, obligatoire et gratuite ; la suppression des armées permanente ; la séparation de l'Église et de l'État, GAMBETTA n'aime guère le catholicisme ; une référence un peu vague à la justice et à l'égalité sociale. [...]
[...] Le radicalisme, pour Édouard Herriot, est le rationalisme appliqué à la vie politique. C'est au nom de cet attachement à la raison qu'est justifié l'anticléricalisme et qu'ils éprouvent un intérêt pour la logique et les sciences : • Ils reprochent à l'Église catholique d'être fondée sur un dogme. • Quant à l'intérêt pour les sciences et la logique, Albert Bayet, déclarait : « Qu'est ce que le radicalisme ? Avant tout une méthode. Qu'est ce que cette méthode ? La science inspirant cette politique. [...]
[...] Il se veut le défenseur des institutions représentatives. L'électeur doit pouvoir choisir librement ses élus. Il est opposé aux partis disciplinés et à la RP. Il valorise la liberté de la presse et la liberté du Parlement par rapport à l'exécutif. → Mais il reconnaît la nécessité du pouvoir, même s'il corrompt tous ceux qui y participent. Ainsi que la nécessité de l'ordre : « résistance et obéissance, voilà les deux vertus du citoyens. Par l'obéissance, il assure l'ordre. Par la résistance, il assure la liberté. [...]
[...] Burke et Paine se trouvent au cœur de la réflexion sur la révolution française. Réflexion qui participe des représentations collectives que les anglais se font de la France. E. BURKE et T. PAINE se trouvent au cœur de la réflexion anglaise sur la Révolution française, réflexion qui participe des représentations collectives que les anglais se font de la France. Les représentations que l'on a sur d'autres pays sont souvent fragmentaires, sélectives voire caricaturales et les sentiments des anglais à l'égard de la France à ce siècle ne sont pas empreinte de cordialité. [...]
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