« On est venu, on a vu et on est retourné chez soi. » C'est un retour à la case départ avec la volonté de s'impliquer dans un pays, l'« italian way of life ». Cela se voit en France avec les ministres italiens tels que Mazarin. On peut cibler cette propagation du modèle autour de deux grandes idées: l'italophilie (très répandue) et l'italophobie selon P. Burke. Le monde français a été étudié dans ce domaine par Jean-François Dubost, avec la France italienne. La France est donc un courant attirant pour les idées italiennes.
[...] L'Italie hors d'Italie On est venu, on a vu et on est retourné chez soi. C'est un retour à la case départ avec la volonté de s'appliquer dans un pays, l' italian way of life Cela se voit en France avec les ministres italiens tels que Mazarin. On peut cibler cette propagation du modèle autour deux grandes idées : l'italophilie (très répandu) et l'italophobie selon P. Burke. Le monde français a été étudié dans ce domaine par Jean-François Dubost, avec la France Italienne. [...]
[...] Il veut alors caser les membres de sa famille (neveux et nièces). Le premier est Paul Mancini, son neveu préféré élever avec le jeune Louis, pressenti pour être l'héritier de Mazarin ; il décède pendant les combats. Philipe Mancini devient duc de Neuverre honoré par l'ordre du Saint-Esprit. Il donne de grosses dotes à ses nièces pour qu'elles deviennent le ventre de grands trônes, la duchesse de Bouillon (mécène de la Fontaine). C'est aussi le cas de Marie Mancini, le premier amour du roi, ce qui est refusé par Mazarin et elle est mariée chez les Colonna. [...]
[...] Il retrouve la grâce royale et Louis XIV lui redonne tout (sa charge ; ses revenus). Il reconstitue alors toute sa fortune, comme en 1648, avec livres tournois et en 1656, avec livres tournois. On voit alors une bonne gestion de ces abbayes. Il retrouve alors tous ces biens, qui sont de grandes œuvres d'arts et il accorde alors un pardon général. C'est un nouveau lancement de son mécénat, avec une nouvelle culture à l'Italienne, avec le succès de l'opéra et la formation à l'italienne (prince éduqué et raffiné pour Louis XIV). [...]
[...] On lui redonne l'image des maires du Palais et on l'accuse d'être un nouveau Lucifer, le prince des démons (combat du mal contre le bien) et d'être un nouvel Icare (ou Phaéton). On le compare aussi d'être un nouveau Séjan (esclave affranchi par Tibère) et d'être aussi un nouveau Ravaillac. Mazarin, un cas intéressant, comme le cas des Mazarinades De son vivant, il est accompagné d'une réputation sulfureuse, que les contemporains vont entretenir tels que Alexandre Dumas et aussi par les écrivains du XIXe siècle. [...]
[...] Tout cela est symbolisé par la prospérité lyonnaise, avec les compagnies de Lyon, ville italienne. Cela aboutit à la dénonciation de l'intrusion et le contrôle de l'économie par les Italiens. On les accuse de contrôler tout le commerce de détail et ils sont souvent comparés à la sauterelle des 7 plaies d'Egypte. Cela est même dénoncé dans les cahiers de doléances. En 1577, une réforme monétaire est manquée par les ministres des Finances qui sont italiens. C'est le cas aussi des moralistes économiques qui dénoncent l'Italie. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture