Histoire des institutions, révolution politique, assemblée constituante, Constitution du 3 septembre 1791, convention, directoire
Les 3 ordres vont rédiger dans les cahiers de doléances: désir de réforme, de rénovation.
Réunion à Versailles, délibérations communes.
Un certains nombre de députés de la noblesse et du clergé vont rejoindre les députés du tiers-état. 17 juin : le tiers état se proclame assemblée nationale. 1er acte de la révolution. Serment du jeu de paume → Mirabeau : « Allez dire au roi que nous sommes ici par la volonté du peuple et que nous n'en sortirons que par la force des baïonnettes ». Capitulation du Roi. Se proclame assemblée constituante le 9 juillet: la souveraineté est dans les mains de l'assemblée, qui représente la nation. A partir de 1789 la nation n'a plus de lien direct avec le roi.
[...] Révolution religieuse, politique. On change de calendrier pour effacer les anciens repères et marquer le passage à une nouvelle ère, qui commence en septembre 1792, on supprime le dimanche. Paragraphe 3 : le gouvernement révolutionnaire Régime extra-constitutionnel absence), d'Assemblée. Le comité de sureté générale (police) et celui de salut public (contrôlé par Robespierre) → really important. Plusieurs décrets : 10 octobre 1793 → gouvernement révolutionnaire jusqu'à la paix + importance des lois révolutionnaires ; 14 décembre → les fonctionnaires dépendent du comité de salut public. [...]
[...] Histoire des institutions : La révolution politique 1789-1799 Les 3 ordres vont rédiger dans les cahiers de doléances → désir de réforme, de rénovation. Réunion à Versailles, délibérations communes. Un certains nombre de députés de la noblesse et du clergé vont rejoindre les députés du tiers-état juin : le tiers état se proclame assemblée nationale. 1er acte de la révolution. Serment du jeu de paume → Mirabeau : « Allez dire au roi que nous sommes ici par la volonté du peuple et que nous n'en sortirons que par la force des baïonnettes ». [...]
[...] Péril de la gauche : offensive des jacobins avec Montagnards, Gracchus Babeuf et sa conspiration des égaux qui réclame égalité de fait et non de droit (Babeuvisme). Péril de la droite : offensive des royalistes. Péril militaire : les militaires méprisent le Directoire. Sieyès revient au fur et à mesure. Il tente de préparer une nouvelle C°, élu en 1799 au conseil des 500, puis directeur : les jacobins sont de + en + présents, Sieyès décide d'agir avec un coup d'Etat qui le propulserait à la tête du pouvoir, il lui faut une aide militaire avec le Général Napoléon Bonaparte. [...]
[...] Certains sont exclus du suffrage censitaire : prêtres réfractaires, personnes émigrées, ou ayant participé à la terreur ans pour le 1er degré (élection des chefs de paix et des administrateurs locaux) pour le deuxième (députés, juges des tribunaux . ) Paragraphe 2 : Corps législatif et pouvoir législatif 2 chambres (haute et basse) pour éviter le régime d'assemblée : équilibre des institutions. Pouvoir législatif : Conseil des 500 et conseil des anciens (approuve ou rejette les projets de loi du conseil des 500) → dynamisme + pondération. Pas d'installation au pouvoir. Garde militaire et territoire protégé pour chacune des deux assemblées. Paragraphe 3 : Le gouvernement Nommé Directoire. [...]
[...] Les députés modérés sont retirés de l'AL → suspension de la royauté et proclamation de la république le 21 septembre 1792. Section 3 : La convention (septembre 1792 - octobre 1795) Très rapidement, élection d'une nouvelle assemblée constituante : la Convention, le 20 septembre 1792; le 21 : an 1 de la république, on débaptise les villes ayant des noms de saints, on supprime les langues vernaculaires (ex de Grenoble renommée Grelibre). Suffrage universel ans) masculin indirect «massacres de septembre». [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture