XVIIIe siècle, xixe siècle, révolution, Révolution française, premier empire, monarchie constitutionnelle, première République, Consulat, romantisme, monarchie modérée, Second Empire, IIe République, IIIe République, Empire, révolution populaire, révolution sociale, Autoritarisme religieux, querelles partisanes, Louis XVIII, Charles X, Trois glorieuses, monarchie de Juillet, révolution de 1848, gouvernement provisoire de 1848, assemblée législative de 1849, césarisme, Empire libéral, capitalisme, société de classes, classe ouvrière, législation du travail, Adolphe Thiers, révolte parisienne, Patrice de Mac Mahon, déchristianisation, libéralisme politique, crise boulangiste, crise de Panama, crise anarchiste
En 1789, la France sort de 1 300 ans de monarchie.
Durant ces 1 300 ans de monarchie, le roi gouverne seul par la voie d'hérédité ; il y a eu 5 dynasties.
Au XVIIIe siècle, le royaume connaît une énorme crise économique et politique, des rigidités sociales (de l'époque médiévale) ; on ne peut pas changer de classe sociale. L'économie est essentiellement agricole : les exploitants agricoles vont être en souffrance (entre la location des terres, les frais), donc ils vont augmenter fortement leurs prix de production (+70%). Les propriétaires terriens vont donc augmenter leurs loyers de 98%. Les habitants ne pourront plus acheter (souffrent de la faim), ce qui conduit les exploitants à souffrir de faim à leur tour. Les hivers sont rudes et gelés, il y a des désastres agricoles, des périodes de sécheresse agricole, un mauvais élevage (épidémies animales)...
Ce n'est qu'à la fin du XVIIIe siècle que des secteurs entiers qui vont cesser de souffrir.
Le Roi se retrouve dans une situation complexe, il n'est pas hyper doué et passionné, et il y a des difficultés politiques liées aux hommes qui engagent certaines politiques.
[...] L'administration : loi (29 août 1871) : établissait un compromis relatif à l'administration départementale le préfet était maintenu comme unique représentant de l'Etat Conseil Général du département, élu au suffrage universel, obtenait d'importants pouvoirs (qui lui avait été retirés), en matière de finances, d'assistance et de travaux publics. Quant à l'administration municipale, une loi du 14 avril 1871 la réorganisa : Paris était soumise à un régime spécial, sans maire, afin de contrecarrer d'éventuelles aspirations communardes. Les autres villes, en revanche, disposaient de conseils municipaux élus au suffrage universel, qui choisissaient le maire (hormis dans les villes de plus de habitants, où le maire restait à la désignation gouvernementale). [...]
[...] Thiers persiste cependant : pour lui, « la République sera conservatrice ou ne sera pas ». La droite de l'Assemblée va alors se coaliser autour d'Albert de Broglie, afin de diminuer la puissance de Thiers, et va obtenir le vote d'une loi, le 13 mars 1873 : En alléguant le respect dû à l'âge du Président, ce dernier ne peut communiquer avec l'Assemblée que par écrit. L'objectif est simple : empêcher Thiers d'agir directement sur les députés et diminuer son autorité mai 1873 : il remanie son gouvernement dans un sens plus républicain que jamais : Broglie interpelle alors immédiatement le gouvernement. [...]
[...] visent à protéger les libertés individuelles et collectives, mais également à protéger les libertés locales, tant de libertés particulièrement malmenées sous le 2ed Empire : Ainsi, en ce qui concerne les libertés individuelles et collectives : - la loi du 30 juin 1881 rétablit la liberté de réunion : sous le 2ed Empire, cette liberté de réunion était conditionnée par une autorisation ; désormais, il suffit de faire une déclaration préalable (et cette déclaration préalable sera supprimée en 1907). - La loi du 29 juillet 1881 rétablit quant à elle la liberté de presse : toutes les mesures préventives (déjà atténuées, souvenez vous, à la fin du règne de Napoléon III, autorisation, droit de timbre . ) sont supprimées. Il suffit, pour fonder un journal, d'en déclarer le titre, d'indiquer le nom du gérant et de l'imprimeur. [...]
[...] Mouvement communaliste : revendications clairement définies : faire cesser l'antagonisme des classes et assurer l'égalité sociale. reconnaître et consolider la République affirmer l'autonomie de la Commune de Paris : promouvoir la décentralisation. Comité Central : souhaite la généralisation des coopératives ouvrières de production, dont les dirigeants seraient élus par les sociétaires. volonté de soumettre les postes de la fonction publique aux élections Alors, quelles seront les réalisations de la Commune ? [...]
[...] Un contexte propice aux réformes Napoléon III : déçu d'avoir échoué dans sa tentative de se rallier les ouvriers déçu également de sa politique extérieure (il n'est pas parvenu à limiter la Prusse, qui devient prépondérante en Allemagne) Son rêve mexicain est un échec total: il rêvait en effet de constituer un grand empire latin catholique outre atlantique, pour faire le poids face aux Etats-Unis, des Etats-Unis fragilisés par la guerre de Sécession. Envoi de 6000 hommes pour conquérir Mexico : mais les mexicains organisent une défense qui obligent les français à reculer, qui les fait tomber dans une guérilla dont ils ne sortiront qu'en quittant le Mexique en 1863. Multiples déceptions + fragile santé, les influences contradictoires = phase de concessions+ réformes. Les réformes de la fin du règne : Janvier 1867 : droit d'interpellation (plus direct et manifestant plus de pouvoir pour l'Assemblée). [...]
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