Paix d'Augsbourg, guerre de Trente Ans, prince du Palatinat, Louis XIV, paix de Westphalie
La paix d'Augsbourg de 1555, comme celle de Nantes de 1598, ne mettent pas fin aux conflits de religions. La guerre de Trente Ans, de 1618 à 1648, est la plus emblématique.
Le 23 mai 1618, défenestration de Prague : les représentants de l'empereur Mathias. L'empereur Mathias, qui est presque dévot, veut reconquérir. Les États de Bohême, ont pour souverain, en 1615, Frédérique V, qui est calviniste. (prince du Palatinat). Dissidence religieuse. 8 novembre 1620, bataille de la « montagne blanche » (qui est sur un plateau). Victoire aux catholiques, « Dieu est du côté des catholiques. » La Bohême est un « laboratoire » du protestantisme.
[...] Les historiens cérémonialistes ont défini une liturgie : sacre, entrée de villes, funérailles, lits de justice (imposer édit, ordonnance au Parlement), Te Deum (messe pour les vicaires du roi médiatiser le succès auprès des notables, obligés d'y assister . Pour le reste du peuple, il y a la sonnerie particulière des cloches. Tous sont au courant) . Apparition occasionnelles (presse) la propagande est un soucis royal. Le 1er journal français, La Gazette, de Renaudot, a été financé par Richelieu. Louis XIV utilise l'image . [...]
[...] La guerre est partout en Europe, mais pas représenté ainsi. XIV avait un pouvoir faible et doit établir une stratégie, une stratégie de gloire Le patriotisme Livres de raison (écrits intimes du genre calendrier famille) où on consigne un peu des infos Etienne Borelly (Nîmes) : témoignage de l'adhésion à Louis XIV ; justification guerre . pas beaucoup conservé ; Patriotisme oui, mais bcp ? Patriotisme face aux autres aussi. Les UK donnaient des surnoms aux Hollandais pour les déprécier. [...]
[...] La Suède connaît la même dynamique. Le Brandebourg Prusse a une faiblesse originelle qui pousse à une militarisation complète, avec un ordre certain ( Se retrouve en Les Habsbourg d'Autriche reconquièrent la Hongrie (Mohacs ) en 1679 au traité de Karlowitz. transfert du risque hégémonique de l'Espagne sans la France Les guerres contre la France Après Traité de Nimègue, la France apparaît au sommet de sa puissance. Elle s'autorise à grignoter des territoires (châtellenies etc) par le droit juridique, le fait accompli etc nouvelle invasion des Pays-Bas. [...]
[...] La guerre est la matrice du sentiment national. III. Ce qu'enseignent les paix d'Europe 1 La paix de Westphalie Münster et Osnabruck ils font une nouvelle Europe, nouvelle répartition. France et Suède,!brandebourg, gagnent des terres. Frontières définies. Division de l'espace impérial reconnu. Paix de religion. La guerre de 30 ans a suffisamment duré cette fois. - de la population en Empire. Reconnaissance officielle des Luthériens (cf Augsbourg) et Calvinistes en Empire confessions déclarée année normale on revient à la religion de 1624 (on s'est mis d'accord la dessus). [...]
[...] La guerre de succession d'Espagne montre la fin de leur domination européenne comme au XVI. Les coalitions européennes ont évité monarchie universelle de Louis XIV. En 1715, tps de la puissance anglaise, qui a participé à toutes les coalitions contre la France. Ils ont éteins les Habsbourg et les Bourbons arbitre. UK met fin guerre d'Espagne, grâce à la paix séparée (1713, Fr) qui pousse à la fin du complot concert européen. Les 2 derniers traités imposent la notion d'équilibre européen. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture