France économique, France, XVIIIe siècle, le Lumières, commerce, Indes
C'est le plus important. Les bœufs eux-mêmes (mâles adultes castrés) qui servent de force de traits.
Ensuite les vaches ont un intérêt, soit pour renouveler l'espèce ou pour la commercialisation en
boucherie et pour le lait. Les taureaux sont rares, car leur usage se limite à la reproduction. Les
paysans qui ont des vaches à saillir louent des taureaux pour la saillie. Malgré des efforts de
croisement, les races gardent un visage régional très marqué. Il y a beaucoup plus de races
présentes. Les bêtes normandes pèsent deux fois plus lourd que les bêtes bretonnes. Aux yeux d'un
contemporain, le bétail est médiocre, à la fois par sa puissance, que par son rendement en lait et en
boucherie. Les bœufs et les vaches commencent à servir vers deux ans environ. De l'âge de deux à
10 ans font l'objet d'un usage intensif, et ensuite ils sont engraissés pour la boucherie. Une fois ce
bétail débité, n'alimente pas seulement la boucherie, le suif du bétail sert à faire les chandelles et la peau va à la tannerie.
[...] Ces paysans sont comme des ouvriers à domicile. Dans ce cas la, ils ne vendent pas, mais reçoivent un salaire pour leur travail. C'est le modèle dominant. Panorama du secteur : Au 18eme siècle, l'industrie textile est répandue dans tout le royaume. Il y a néanmoins des disparités géographiques. Pour le chanvre: c'est la bretagne, le maine, l'anjou. Pour le lin, c'est aussi ceux ci mais aussi le nord du royaume: la flandre, et ailleurs en france: le Dauphinais. Pour la laine: normandie, picardie, flandres, la champagne, le languedoc. [...]
[...] Lieutenant générale de police collabore avec la chambre syndicale de la librairie et imprimeries ( representatif du metier). La chambre syndicale est supposé l'aider à pister les ouvrages interdits. Saisis, condamnations des libraires, e puis en cas de recdive, il peut prononcer des interdictions d 'exercer. D'une maniere generale, les diffuseurs sont plus frappés que les auteurs> ils se cachent derriere des anonymats, ou prce que la priorité pour la police est d'abord de stopper le livre. la difficulté du contrôle de l'imprimerie : Malgré ces efforts, le contrôle est assez mal fait. [...]
[...] La censure retrospective est aussi pratiqué par les tribunaux. C'est vrai surtout dans les villes. A Paris, le Chatelet condamne souvent des oeuvres qui circulent. L'Eglise exerce aussi une autorité de censure, à plusieurs niveaux: -la censure universitaire: condamnations qui emanent de la Sorbonne, qui condamne des oeuvres en vertu de son autorité théologique. -la censure episcopale: les eveques/ archeveques ont aussi une autorité doctrinale et peuvent condamner des oeuvres squi circulent dans leurs dioceses. -la censure pontificale: le pape lui meme condamne parfois; de plus, l'inquisition à rome condamne parfois des livres français: elle les met à l'index des oeuvres condamnés par l'eglise. [...]
[...] La réunion des parcelles par exemple augmente les rendements de quelques pour cents. C. L'autosuffisance du Royaume : L'idée de fond est que le royaume est auto suffisant en blé. En année normale il n'importe pas de céréales pour vivre, elle a même une petite capacité d'exportation. La Grande Crise des années a amené l'importation de blé, mais c'était exceptionnel. Si la France est restée auto suffisante, en gagnant 7 millions d'habitant, c'est qu'il y a eu de petits progrès. [...]
[...] Par ailleurs il a plusieurs îles des Antilles qui changent de main : français , anglaise . Trois possessions restent sous le commandement et souveraineté française . C'est ce que l'on appelle les petites Antilles , les deux positions françaises sont la Martinique et la Guadeloupe . Dans les grandes Antilles c'est St Domingue qui correspond dans l'État d'Haïti. Depuis la fin du règne de Louis XIV : production coloniale. Dans la France du XVIIIe, on appelle les Antilles : les îles à sucres. Les trois territoires des Antilles ne se ressemblent pas. [...]
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