L'histoire du royaume de France au XVIe se divise en deux phases.
- 1515 - 1559 ou 1562. « LE BEAU SIECLE ». Phase de cinquante ans : série d'éléments positifs : forte croissance économique. Renforcement de l'autorité royale : plus de stabilité à l'intérieur du royaume. La France participe activement à l'humanisme et à la renaissance artistique.
- classicisme.
Stabilité, relatif bien être, foisonnement intellectuel.
Pourtant pas de paix sur le plan extérieur. Guerre contre les Habsbourg danger prioritaire.
- 1559.62 - début XVII. Partie du siècle plus sombre.
Conjonction et interconnexion entre deux composantes indéniables.
Edit de Nantes et édit politique. Arrivée d'Henri IV à la fin du siècle pour reconstruction de pouvoir plus solide (...)
[...] Grande majorité des grands restent catholiques. La noblesse moyenne bascule dans le protestantisme. Danger, elle est militaire prises d'armes. Certains le font par convictions, d'autres par inoccupation, car il n'y a plus de guerres d'Italie. armée professionnelle goût de la guerre. Puissance des réseaux nobiliaires. Réseau de sociabilité, de sociabilité locale. Liens de services rendus amicaux et d'intérêts communs. Clients, obligés. Le gros des troupes protestantes sont les habitants des villes. Les campagnes sont peu touchées. Tout le monde intellectuel des villes. [...]
[...] Totalité du pouvoir sur ses sujets ; indépendance vis-à-vis de la papauté concordats de Bologne. limite l'intrusion du pape dans les affaires du roi. Roi contrôle le clergé. Hommes qui lui sont fidèles. Logique des honneurs des dignités le roi distribue à ses fidèles des fonctions qui leur donnent honneur et dignité. Un évêque touche des bénéfices. le roi distribue des récompenses, ce qui renforce sont pouvoir. Ordre de Saint Michel. Le roi distribue honneurs symboliques et honneurs pécuniaires le prince est élié des lois. [...]
[...] Personne mandaté, ne suit que son programme. Les Etats généraux ne peuvent pas être lieu d'innovation. Sont toujours vécus comme un échec de la part de la monarchie. * On a débattu des finances. Coalisions de la richesse et du Tiers-Etat pour que le clergé paye millions pendant six ans. Rupture avec la tradition. Dès lors, l'exemption fiscale du clergé est finie. Possibilité de se réunir une fois par an en assemblée générale. Assemblée pour discuter des affaires générales de l'Eglise. [...]
[...] Huile contenue dans la Sainte ampoule, serait apportée par une colombe au moment du baptême de Clovis. C'est Dieu lui-même qui a donné cela à Clovis. Le roi de France a par cette onction une union avec Dieu. Il est lieutenant de Dieu sur Terre. Le roi de France est dit très chrétien Directement en relation avec Dieu. Cette dimension religieuse a des avantages légitimité. Homme sacré. A l'abri de toute atteinte physique crime de lèse-majesté. Lien étroit avec l'Eglise. Prononce des serments au moment sacré. [...]
[...] Commerce avec le diable. Rôle important des officialités dans la justice du pays. Le roi intervient pour la haute justice et pour la justice en appel. -justice déléguée : exercée par d'autres que le roi : seigneurs, officialités - justice retenue par le roi : souvent la justice en appel. - On verse des épices aux juges : salaires - ce système en appel fonctionne mal. La justice n'est pas uniforme. On est dans un état de droit coutumier. Droit écrit. [...]
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