Europe, France révolutionnaire, Traité de Versailles, Saint Empire Médiéval, sociétés inégalitaires
L'Europe de l'époque est constituée du Royaume-Uni, de l'Autriche, des Pays-Bas, de la Hollande, de L'Italie, de L'Espagne, de la France ainsi que des Allemagnes.
Les Allemagnes : Terres médiévales où se parle l'Allemand, on nomme ces terres le Saint Empire Médiéval (La Prusse est également européenne).
Les repères qui permettent de définir le territoire européen sont : Les racines latines, les Universités, ainsi que le fait de n'avoir été dominé par des puissances extra européennes.
[...] II) Des économies plus ouvertes et plus diversifiées En 1815 l'Europe est politiquement fragmenté Etats allemands Etats Italiens, Plusieurs cantons Suisses. On a des territoires enclavés comme la Sicile qui n'a aucune route, elle a seulement quelques ports en liaison avec l'extérieur. C'est donc une Europe fracturée, il y a peu de capitaux, l'argent ne circule pas, on a des marchés étroits, des transports lents et coûteux, des infrastructures portuaires ont été ruinées par le blocus continental. On a après une libération de l'économie, meilleurs systèmes de communication, spécialisations régionales, les régions sont cependant de plus en plus inégales, disparités régionales au profit de l'Europe de l'Ouest. [...]
[...] Les affaires sont toujours traitées collégialement. Ainsi Berlin accueille en 1870 au traité de Berlin toutes les puissances européennes. L'Europe de cette époque c'est toujours 5 puissances, d'abord l'Angleterre, ensuite l'Autriche qui n'est plus Italienne mais Danubienne, elle devient l'Autriche-Hongrie, la troisième puissance reste la France, La France abandonne l'Alsace en 1871 mais la France n'est pas démantelée. Enfin on a l'Empire Allemand à partir de 1871 dominé par la Prusse. Enfin, la moindre des grandes puissances est l'Italie et le pied mont. [...]
[...] Cette thèse a des allures de vérité. Delcassé est ministre des affaires étrangères à la pire époque, sous la troisième république, il doit gérer une crise au Liban, se froisser avec les Anglais est impossible. IL faut se rapprocher des Anglais, sortir de l'isolement dans lequel nous avait mit Bismarck il faut se rapprocher de l'Italie (Il déteste l'Angleterre mais il mène une politique réaliste). Pour lui la guerre est inévitable, il va nommer deux hommes pour la diplomatie pour la durée, Barraire en Italie et Cambon à Londres, le but est donc de neutraliser le système d'isolement Bismarckien. [...]
[...] On a une hiérarchie de la bourgeoisie. La haute bourgeoisie se distingue par des professions, la banque, l'industrie, les travaux publics, et une branche nouvelle, le grand commerce de distribution. Cette haute bourgeoisie ne vient pas du peuple, elle est le produit d'une très longue et lente ascension sociale ; ils proviennent souvent à la base de familles de notables. Les comportements de cette bourgeoisie sont ambigus car on retrouve chez eux des traits de l'aristocratie ; en effet il y a une grande solidarité familiale, confessionnelle. [...]
[...] Au final cette guerre est malheureuse pour la France qui fini ruinée, cette guerre était une véritable erreur, en effet la France n'arrive même pas a concrétiser un marché avec l'Amérique, alors que l'Angleterre, du fait de ses relations postcoloniales réussit à créer un marché intéressant représente la matrice de la révolution française. Les Affaires de Pologne A cette époque la Pologne rencontre de grands problèmes de structure, en effet, il n'y a ni dynastie polonaise, ni administration. Les Polonais ne possèdent pas d'armée fixe, et l'aristocratie est très divisée. La Pologne n'est pas un véritable Etat et ne possède aucune notion de patriotisme. Cet espace devient donc une cible privilégiée des grandes puissances continentales. [...]
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