Etats, institutions, France, moderne, XVIème, XVIIème, XVIIIème
La France des temps modernes est une période dont il est difficile de donner un début et une fin cela donnera lieu à de nombreuses polémiques :
Certains posent le commencement de l'époque moderne en 1492 avec la reconquête des royaumes d'Espagne et les découvertes de Christophe Colomb. D'autres la situ en 1515 au début du règne de François 1e
Pour la fin de l'époque moderne les polémiques portes sur 1789 avec la prise de la Bastille, ou 1792 avec la fin de la monarchie…
[...] L conjugaison de ces phénomènes va favoriser une guerre civile. La montée des périls. L'enracinement d'une France protestante. Jusqu'en 1550 l'essor du protestantisme est confus et disparate. Ils existent plusieurs communautés sans liens entre elles avec plusieurs influences. Les Evangélistes, les Luthériens et les Calvinistes. A partir de 1550 Calvin depuis Genève va s'évertuer à rassembler les églises protestantes du royaume Français à travers la diffusion d'ouvrages et l'envoi de pasteurs qui vont sillonner clandestinement le royaume en rependant le Calvinisme. [...]
[...] Au contraire du tyran le Roi voit son pouvoir encadré il ne gouverne pas seule mais décide seul. Le gouvernement par conseil. Le Roi est tenu de prendre conseil avant de décider. Un Conseil formé aà l'origine par les grands féodaux ainsi que les proches de la famille royale. Par la suites le Roi choisira lui même ses hommes en fonction de leurs compétences. Les Roi ont aussi la possibilité de consulté le Conseil du royaume réunissant des personnalités éminentes, des états généraux du royaume représentant les 3 grands ordres de l'époque le clergé la noblesse et la bourgeoisie. [...]
[...] Règle implicite depuis les origines de la dynastie Capétienne mais cette règle ne se formalisera qu'au XIVème siècle. En 1316 Le seul héritier de Louis X est une femme Jeanne qui sera privée de ses droits à la couronne. Les femmes sont des lors écartées, non seulement elles ne peuvent accéder au trône mais elles ne peuvent pas non plus le transmettre. En 1328 Edouard III fils d'Isabelle n'est pas choisis pour être à la tête du royaume ceci surtout à une décision politique (la France choisis de ne pas être sous la coupelle de l'Angleterre) ce qui instaurera cette coutume. [...]
[...] Il n'y à pas d'intervalles entre deux souverains, succession qui dévalorise le sacre du Roi, ce n'est plus le sacre qui fait le Roi mais l'hérédité. Le sacre devient qu'un élément confirmatif de la succession. Le roi ne meurt jamais l'institution royale est perpétuelle. La permanence de la fonction de Roi ne cesse jamais qu'il soit enfant, trop âgé, malade, fou La monarchie a mise en place un système de régence par un tiers au nom du Roi. La pérennité des actes royaux sont en faveur d'une continuité durable de l'état. Les souverains ne sont pas tenus par le pouvoir de leurs prédécesseurs. [...]
[...] Pépin le Bref introduit cette pratique dans la monarchie en effet en voulant se débarrasser de la dynastie des Mérovingiens il trouve sa légitimité par le sacre. Ainsi il instaure la cérémonie du sacre qui se déroulera pour tous les Rois qui suivent dans la Cathédrale de Reims (Baptême de Clovis) . Selon ce rituel, le roi parvient à la cathédrale de Reims en même temps que la sainte ampoule, qui contient une huile censée ne jamais s'altérer depuis que le Saint-Esprit, sous forme de colombe, l'aurait apportée lors du baptême de Clovis. [...]
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