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Le XVIIe siècle en Angleterre est un siècle majeur dans l'histoire politique du pays, où deux changements de dynastie sont à dénombrer (Tudor-Stuart-Cromwell). En parallèle, trois documents essentiels voient le jour : l'habeas borpus, the bill of rights (1689), the petition of rights.
Par ailleurs, à cette époque naît la lutte des classes, amplifiée par la révolution des droits de l'Homme : l'Etat n'est pas que du droit, mais s'inscrit aussi dans un rapport de forces. Le XVIIe siècle est aussi un point de basculement religieux et politique. Sous les Tudor puis sous les Stuart on alterne des période de rapport de force que l'on peut schématiser ainsi : le roi et son parlement, en son parlement et contre le parlement.
[...] L'Angleterre à la fin du XVII° s se convertit donc à la liberté religieuse : Acte d'Habeas Corpus, on présente son corps devant la justice. Retour à la Magna Carta. Habeas Corpus : il faut un ordre écrit pour qu'une procédure judiciaire soit lancée. Aucune personne ne doit être emprisonnée sans jugement : empêcher les arrestations arbitraires. Jacques II et la Glorious Revolution de 1688 Jacques II (1985-1688) est le successeur de Charles II (1660-1685) : il est converti au catholicisme. Il est suspecté par le Parlement d'être contre l'anglicanisme et la liberté religieuse. [...]
[...] Le Bill of Rights protègent les libertés et les droits des Anglais, perpétuité les lois du royaume”. Le droit protège les libertés et est gardé par le juge : le juge est gardien de la liberté individuelle. Idée de Nation, il n'y a plus d'états ou d'ordres particuliers : toutes les classes du royaume apparaissent dans le Parlement en Angleterre. Locke et la victoire des droits de l'homme en Angleterre John Locke n'a pas participé à la Glorieuse Révolution qui a renversé Jacques II. [...]
[...] Il se fait alors nommer “chef de l'église d'Angleterre” : excommunication. Henri VIII est le premier à lancer l'anglicanisme : compromis anglican. Thomas More emprisonné et exécuté car opposé à son roi, mort pour sa liberté de conscience. L'affaire religieuse semble réglée mais il y a des problèmes dans la succession. Edouard VI, son successeur fait perdurer l'anglicanisme, acte d'uniformité en 1549. Puis sa sœur Marie, catholique, s'oppose à l'anglicanisme. Elisabeth I qui lui succède revient à l'anglicanisme et refuse les excès au nom de la raison d'Etat, Acte de suprématie (1559), qui substitue la juridiction du Pape sur le clergé par la justice royale : statut définitif Eglise d'Angleterre, anglicanisme : 39 articles + Book of Common prayer, dont les formules liturgiques sont suffisamment ambiguës pour être acceptables par les Catholiques. [...]
[...] Spinoza : l'Etat doit défendre la liberté politique des citoyens. Ils écrivent pour la même raison : éviter la guerre des uns contre les autres. XVII° s en Angleterre : siècle majeur dans l'histoire politique : 2 changements de dynastie (Tudor-Stuart-Cromwell) 3 documents essentiels: Habeas Corpus, Bill of Rights (1689), Petition of rights. A cette époque naît la lutte des classes, amplifiée par la révolution des Droits de l'Homme : l'Etat n'est pas que du droit, mais aussi un rapport de forces. [...]
[...] Création du Parlementarisme anglais : révolution contre Jean sans Terre et contre les Stuart. On a eu un affrontement clair entre les Stuart et le Parlement si la Pétition des Droits est accordée en 1628, le Parlement avait été dissous et ses leaders arrêtés quelques mois auparavant : Charles II convoque à nouveau le Parlement pour obtenir des crédits militaires face à l'opposition, il fait arrêter les leaders le peuple prend les armes et le roi doit quitter le pouvoir. [...]
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