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L'économie est vue comme une série de productions de bien et de service, mais aussi des secteurs d'activités. À cette époque, on parle d'économie agricole, elle fait vivre tout le monde. Les finances, de la monarchie, représentent la manière dont la monarchie fait les prélèvements fiscaux. On verra que cela ne suffit pas pour le royaume et qu'il y aura un endettement. Il va y avoir le développement des administrations : militaire (armée), civile (prélèvements d'impôts). Au XVII, l'économie du royaume est stable, mais va connaître des crises. On n'a pas d'augmentation des rendements.
Lors de la première décennie du règne de Louis XIV, on remarque une paix qui contraste complètement avec la fin du XVII ; notamment à cause de mauvaises récoltes qui engendrent la flambée des prix et une faim dans le royaume. Certes, le pouvoir royal essaie de combler cela, notamment avec une distribution de pain dans les grandes villes pour éviter les révoltes, mais cela n'a pas été suffisant. Les citadins peuvent consommer du vin, un demi-litre par jour en moyenne à Lyon, l'alimentation est quand même accessible.
[...] On a alors un état des lieux des recettes et dépenses chaque février de chaque année. Colbert voulait éviter la latitude laissée à tel ou tel département de dépenser sans compter. Jusqu'à la guerre de Hollande se maintient un équilibre relatif avec un déficit moyen de (la limite européenne actuelle est de ne pas dépasser La situation financière de l'État tire profit de cette relative paix, d'autant plus que le contexte économique est propice au développement d'activités commerciales. Les activités des compagnies instaurent une relative prospérité en matière de commerce internationale. [...]
[...] Économie et finances sous le règne de Louis XIV L'économie est vue comme une série de production de bien et de service mais aussi des secteurs d'activités. A cette époque on parle d'économie agricole, elle fait vivre tout le monde. Les finances, de la monarchie, représente la manière dont la monarchie fait les prélèvements fiscaux. On verra que cela ne suffit pas pour le royaume et qu'il y aura un endettement. Il va y avoir le développement des administrations : militaire (armée), civile (prélèvements impôts). [...]
[...] L'économie du Royaume de France est donc touchée par les lois religieuses. Dans l'État de Saxe, l'économie politique tire elle partit des ouvriers français contraint de quitter le Royaume de France. Colbert s'illustre dans la mise en œuvre du processus de contrôle de la qualité (l'historien Philippe Minard s'intéresse au fonctionnement de cette administration et des inspecteurs des manufactures, surveillant le secteur textile en particulier). Les inspecteurs sont répartis à l'échelle des provinces et effectuent des visites des manufactures pour vérifier que les clauses réglementaires sont appliquées dans la production (on compte les pièces d'étoffe). [...]
[...] Colbert, en 1667, relève le tarif douanier des productions hollandaises. On met donc en œuvre, avant de passer aux hostilités militaires, une politique de guerre économique (les Hollandais étant soupçonnés d'être contre le Roi de France). La question épineuse des finances La veine recherche de l'équilibre budgétaire Les finances sont l'éternel point noir pour la Monarchie française, avec pourtant un système performant comparé à d'autres organisations monarchiques. Même jusqu'au XVIIIe siècle, il n'y a pas suffisamment d'impôts pour permettre une stabilisation et un équilibre budgétaire, avec des déficits qui s'accumulent et des problématiques de banqueroute qui surviennent régulièrement. [...]
[...] Lorsque Colbert intervient, c'est pour mettre de l'ordre dans un secteur fragile. Durant la première moitié du XVIIe siècle, les compagnies créées font souvent faillite. Colbert souhaite rationnaliser les choses pour donner une nouvelle impulsion au grand commerce, et le mettre au service de la puissance du Roi de France. Ces compagnies ne sont pas strictement privées, et fonctionnent suivant un partenariat public-privé (investissement partagé). Dans le sillage de la colonisation sont mises en œuvre différentes compagnies. On voit des extensions géographiques des compagnies entre 1660 et 1670. [...]
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