L'ALENA, Accord de Libre Echange Nord-Américain, signé à San Antonio au Texas par Georges Bush, Carlos Salinas et le Premier ministre canadien Brian Mulroney expliqué brièvement dans ce document Word de deux pages. Le but n'étant ici pas de trop rentrer dans les détails mais plutôt d'obtenir un aperçu rapide du sujet.
[...] Une chose est sûre, c'est que la mise en œuvre de l'ALENA a stimulé un développement des échanges entre les pays qui ont plus que doublés en 6 ans (1993-1998). Ce développement a d'abord profité au Mexique dont le solde des échanges avec les Etats-Unis était défavorable jusqu'en 1994, le déficit laissant place à un excédent important de 1995 à 1998 ( au total : 48 Mds Il est vrai que les capitaux venus des Etats-Unis participent plus activement que par le passé au développement et à la modernisation de l'économie du Mexique qui a développé ses exportations sur le marché désormais grand ouvert de ses puissants voisins du Nord. [...]
[...] L'ALENA Octobre 1992 : Accord de libre–échange américain, signé à San Antonio au Texas par Georges Bush, Carlos Salinas et le Premier ministre canadien Brian Mulroney. I - Les dispositions de l'accord janvier 1994 : entrée en vigueur du traité. Le traité prévoit l'élimination progressive (durant une période de 10 ans) des droits de douane pour la plupart des produits. janvier 2003 : les droits de douane devaient avoir totalement disparu pour 99% des produits à condition que soit respectée la clause d'origine L'ALENA n'est en effet pas une intégration douanière et chacun des trois pays signataires conservent sa pleine indépendance en matière de fixation des tarifs frappant les produits des pays tiers. [...]
[...] Le marché mexicain des télécommunications est ouvert aux investissements des Etats-Unis et du Canada depuis 1995 et celui des services financiers depuis l'an 2000. Dans ce dernier domaine, la participation étrangère dans les banques mexicaines ne pourra dépasser 15% au cours des 6 premières années de l'application du traité. II Des avantages partagés ? Quand l'ALENA est entré en vigueur, le problème était de savoir si les pays signataires allaient tous entièrement profités car ce sont les règles des américains donc largement les solutions libérales prônées par le FMI qui sont en cause. [...]
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