La dictature de la Convention (1792-1795)

Thèmes abordés

Dictature de la Convention, convention, Constitution, suffrage universel, royalistes, montagnards

Résumé du document

Cette période pèse lourdement dans l'histoire par les traumatismes qu'elle suscite. Cette convention fait des crimes mais sauve aussi la nation. Néanmoins durant un siècle, la France reste meurtrie.
On s'inspire dès lé début de la constitution américaine mais il y a des fautes. Le suffrage universel est escamoté, nous sommes durant la période de septembre en plein massacre et on appelle les gens à voter.
Cependant, seulement 10% de la foule vote, il n'y a souvent qu'un seul candidat, le vote est un faux secret et l'on risque sa vie si l'on s'oppose à la majorité. Le 21 septembre 1792, on proclame l'An I. On créé une nouvelle semaine, la décade (10 jours). Dans la salle des manèges apparaît 3 familles, ceux proches de la tribune (la plaine), à droite les girondins, à gauche les montagnards dont les jacobins (centre gauche) qui veulent à l'origine préserver la liberté. Les montagnards sont la gauche et l'extrême gauche, ils siègent en haut.

Extraits

[...] Les forteresses de Vauban tombent. Nice, Strasbourg, Perpignan tombent. La défaite du général Du Mourriez est une des causes de la mort de LXVI. En Belgique il a du abandonner Anvers sous la pression autrichiennes et britanniques. Ses forces s'amenuisent et on doute de sa fidélité. Il est girondins et on craint qu'il se retourne. Il est contraint par la convention d'accepter la bataille. A Nerwinden il est écrasé sous le nombre. On se repli sur les frontières de la FR. [...]

[...] Il lui faut 2h pour arriver place de la révolution, il passe par tout Paris. La place de la révo est cerné par la garde révo qui craint la réaction du peuple. LXVI sort de la voiture, il a les main libre, monte sur l'échafaud et dit meurs innocent mais je pardonne». A 10h22 le roi est mort, on prend la tête et on la montre au peuple. On ne peut/ veux plus revenir en arrière. Après LXVI c'est la reine qui sera guillotiné. [...]

[...] La dictature de la Convention (1792-1795) I. Un suffrage universel escamoté Cette période pèse lourdement dans l'histoire par les traumatismes qu'elle suscite. Cette convention fait des crimes mais sauve aussi la nation. Néanmoins durant 1 siècle la FR reste meurtri. On s'inspire dès lé début de la consti amé mais il y a des fautes. Le SU est escamoté, nous sommes durant la période de septembre en plein massacre et on appel les gens à voter. Cependant seulement 10% de la foule vote, il n'y a souvent que un candidat, le vote est un faux secret et l'on risque sa vie si l'on s'oppose à la majorité. [...]

[...] Durant cette periode il y a exécutions sommaires sans compter les colonies qui ne sont pas en reste (cf la Guadeloupe). Il y a dans les iles des Antilles des exécutions terrible personnes sont tués. Sur toute la France on estime à la perte totale de la population personnes passent par la guillotine. Petit à petit la terreur perd toute crédibilité. On appel certains membres de la terreur les enragés. Hebert qui remplace Marat appel au meurtre , c'est le chef des sans culottes. Il veut la peau des riches et la redistribution. L'Etat s'occupe de l'économie. [...]

[...] LXVI est il coupable d'attentat contre la sûreté de l'État répondent par oui. Le jugement rendu sur LXVI sera il cependant soumis à un vote du peuple? Pour les girondins la question doit etre posée à tous, la Q est trop grave pour être traitée en petit comité. Cependant huissiers et juristes sont corrompus et les girondins échouent. Les votes se font le 7 janvier 1793 dans une ambiance pesante, jusqu'à tard dans la nuit on vote. Le cousin du roi monte vers 23h et parle à la tribune, il considère que le roi a trahi le peuple et qu'il doit mourir. [...]