Déclin, aristocraties, aristocrates, fortunes, influence sociale
Déclin qui passe tout d'abord par le recul des fortunes, la puissance économique des aristocraties est atteinte par les révolutions. Tout cela porte atteinte à la puissance économique des aristocraties en faisant disparaître les droits féodaux tels les impôts. C'est autant de privilèges en moins.
[...] On les trouve ainsi dans les premières sociétés par action. Ils font partie de ceux qui ont de l'argent à placer, et les entreprises qui se rendent dans le nouveau modèle juridique qu'est la société par action sont avare de grands noms aristocrates ce qui rassurent les autres investisseurs. Vers 1870 dans la partie Tchèque de l'Autriche plus de la moitié des entreprises de l'agroalimentaire sont gérer par des nobles tchèques. C'est souvent par le biais de cet engagement dans l'industrie et la banque que se fait l'amalgame avec les nouvelles élites bourgeoises, par convergence d'un intérêt mutuel. [...]
[...] C'est sur ce terrain de l'industrie que peuvent se faire ces rapprochements. Après les années 1880 l'aristocratie financière va s'avérer plus difficile car c'est à partir de là que l'on rentre dans une phase de dépression des prix agricole qui touche de plein fouet le foncier. Le maintien de l'influence sociale et politique Sur le plan social la noblesse reste un modèle de référence social et culture pour les nouvelles élites. La société où l'aristocratie est dominante c'est une société ou les riches ont le souci des pauvres ( discours tenu par ces membres de l'aristocratie qui continuent à promouvoir les hiérarchies donc siament inégalitaire mais où le sens du pouvoir des privilégiés peuvent compenser ces inégalités. [...]
[...] Ce sont les débouchés naturels de ces familles aristocratiques qui gardent la leur position. Fin du second empire en France 1/3 des députés aux camps législatif sont des bourgeois. D'un point de vu idéologique on ne s'étonnera pas de trouver la noblesse du côté du conservatisme politique. Elle est attachée au passé, à la tradition, méfiante des idées progressiste et suivant la nature du régime elle va avoir différentes position : dans les régimes aristocratiques elle va être un relais du pouvoir comme en Prusse, et il en est de même dans les monarchies parlementaire comme la GB. [...]
[...] C'est autant de privilèges en moins. Il y a également recul des revenus foncier, la terre n'est plus la principale source de richesse à terme, cela se fait sur la longue durée. De surcroît l'abolition du servage prive ces aristocraties d'une main d'œuvres gratuite, cela contribue à mettre à mal le modèle de la grande propriété foncière aristocratique. Ceci étant, ce déclin reste relatif jusqu'aux années 1880( un siècle pour que les phénomènes cité plus haut soit perceptible au niveau de l'Europe. [...]
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