Affrontements religieux, France, iconoclasme en France, atmosphère des aspirations spirituelles, réformés français vers 1555, Claude Haton
Thème : nous allons, nous intéresser aux affrontements religieux sous l'aspect plutôt politique, à savoir les forces en présence, et le fil conducteur du cours ce sera la façon dont la monarchie dans une période relativement troublée a réagi face aux mutations religieuses et comment elle a agit.
La question que l'on peut se poser : La France est elle un royaume particulier, original avec une situation inédite ? En quoi est-ce qu'on peut parler de caractère inédit de la situation française à partir de l'Europe ?
Car la France va laisser coexister deux religions : catholique et protestante. Partout en Europe les fidèles ont pu faire des choix. Très tôt en Allemagne, en Angleterre, selon le principe de « Cuius regio, eius religio », les fidèles suivent la religion du prince et s'ils ne sont pas satisfaits ils doivent émigrer. Donc cette situation va perdurer en France de 1598 : l'édit de Nantes à 1685 : l'édit de Fontainebleau.
[...] Ils vont faire l'apologie des martyrs de la réforme. Que l' On doit en à un imprimeur français qui s'est réfugié à Genève qui s'appel Jean Crespin et qui entre 1554 et 1609 à édité un ouvrage qui s'appel le livre des martyrs ou ceux qui sont mort pour la foi de l'évangile Donc ca soulève une vague d'indignation et a pour effet de conforter les gens dans leur foi et de ce dire : le martyr c'est le passage obligé pour qu'il y est la reconnaissance de la foi. [...]
[...] C'est-à-dire la réduction des germains, l'asservissement des germains. Conséquence, le message que lance Hotman par le Franco-Gallia, c'est qu'il faut que les descendants des francs utilisent la force contre la nouvelle tyrannie de Rome. 2ème ouvrage : Celui de Théodore de Bèze intitulé du droit des magistrats sur leur sujet qui parait primitivement en juin-juillet 1573 et à Genève officiellement puis Heidelberg en 1574. L'idée c'est la multitude des interrogations sur la légitimité de la résistance qui sont adressés à Théodore de Bèze qui est depuis la mort de Calvin, comme la conscience religieuse et politique du monde réformé. [...]
[...] O la fin de sa vie, François 1er a une obsession, c'est vouloir conserver l'unité religieuse du royaume qui va le conduire à un certain nombre de débordement, en particulier le massacre des vaudois qui sont acquis à la réforme depuis le synode de Chanforan en 1532 et en avril 1545, on a une véritable extermination des vaudois sans jugement qui entrainent une indignation de l'Europe qui va peser lourd contre la France. A son avènement en 1547 Henri II souhaite au départ, revenir à une politique moins dure. Il va faire traduire devant les tribunaux les auteurs du massacre des Vaudois notamment Jean Mayner qui est le 1er président du parlement d'Aix. Mais la plupart des responsables sont acquitté. [...]
[...] Il y a aussi les sacrements : baptême, l'eucharistie, la confession, mariage, l'ordination, l'extrême onction et la confirmation. Ces indulgences s'obtiennent le jour de Noël, en regardant la messe et la bénédiction final. Par extension, l'indulgence a finit par devenir une sorte de remise de peine spirituelle, c'est-à-dire le raccourcissement du temps imposé aux fidèles au purgatoire avec un caractère d'automaticité. Et ce caractère d'automaticité, a été mit en place car il a fallut dire quels sont les actes qu'il fallait accomplir, et calculer à combien cela correspondez. D'où des dérapages. [...]
[...] Fait brûler les livres ce sont des terriers : registre ou les gens dépendent du seigneur. On a des rites d'inversion, on va s'approprier les fonctions de tous ceux qui sont dans l'abbaye. Dans le carnaval s'est autorisé. Il y a le souhait de renverser. [...]
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