André Félibien, Académie, Louis XIV, Paysan, représentation théâtrale, représentation musicale, fête de Versailles, oeuvre de Lully, époque baroque, Relation de la fête de Versailles du 18ème juillet 1668, qualité exceptionnelle, barrières du temps, barrières de l'espace, expérience unique, passions
André Félibien est un architecte français du XVIIe siècle. Il est surtout connu pour ses écrits sur l'architecture et les arts, ainsi que pour son travail de secrétaire de l'Académie royale d'architecture. En 1668, il a écrit une relation détaillée de la fête de Versailles du dix-huitième juillet mille six cent soixante-huit, à laquelle il a assisté en tant que représentant de l'Académie. Cette fête est un exemple emblématique du grand spectacle et de la grandeur de la cour de Louis XIV à l'époque baroque. Dans ce texte, Félibien décrit un moment de la fête, lorsqu'un Paysan trouve le réconfort auprès de ses amis et assiste à une représentation théâtrale et musicale.
[...] l.1 et 5 : utilisation d'indicateurs temporels et logique : ils rythment le début de l'acte et donne une idée du déroulement de l'acte « dans ce dernier acte » l.1 / « enfin » l.5 / « ici » l.5 l.8 : de nouveau focalisation externe : utilisation de verbes d'observation : le locuteur est placé en tant que témoin « l'on voit » l.8 (comme ligne II) La finale époustouflante de l'œuvre de Lully (l.10 à fin) l.10 : verbes particulièrement mélioratifs « charmer » / « satisfaire » l.10 l.11 : mais aussi adjectifs particulièrement mélioratifs précédés d'un adverbe d'intensité « si beau » l.11 / « mieux inventé » l.11 / aussi + tard : « si agréable » l.15 l.13 : tout est parfait (sans le « pas ») « il n'y a rien qui n'exprime parfaitement » l.13 l.10 et 13 : encore focalisation externe : utilisation de verbes d'observation : le locuteur est placé en tant que témoin « si l'on regarde » l.10 et 13 (comme ligne l.11-14 : Félibien dit que chaque pas de danse et chaque mot a sa raison d'être l.13-14 : anaphore « si l'on regarde » l.15 : un spectacle unique « ce qui n'a jamais été vu » l.15 l.15-17 : énumération l.20 : pléonasme : insiste sur le fait que le spectacle est total (il semble y avoir une harmonie) « joindre ensemble » l.20 l.22 : il exprime son incapacité à exprimer son admiration par une formule de clôture : au début il y a 1 voix puis à la fin de l'acte, il y en a 100 les spectateurs et le narrateur ne trouvent pas les mots = bouche bée / impressionnés En somme, dans sa "Relation de la fête de Versailles du 18ème juillet 1668", André Félibien décrit l'expérience de la représentation théâtrale et musicale comme un spectacle vivant et époustouflant. Il estime que l'œuvre de Lully est d'une qualité exceptionnelle, tant dans les danses que dans la musique, qui exprime parfaitement toutes les passions et ravit l'esprit des auditeurs. La finale de l'œuvre de Lully, avec son harmonie de voix et d'instruments, ses différents chœurs et ses pas dans un accord et une cadence parfaitement synchronisés, est particulièrement admirable. Cette représentation illustre la puissance de l'art dans la création d'un moment magique et inoubliable pour tous les spectateurs présents. [...]
[...] Relation de la fête de Versailles du 18ème juillet 1668 - André Félibien (1679) - Comment Félibien décrit-il l'expérience de la représentation théâtrale et musicale lors de la fête de Versailles en 1668 ? André Félibien est un architecte français du XVII ème siècle. Il est surtout connu pour ses écrits sur l'architecture et les arts, ainsi que pour son travail de secrétaire de l'Académie royale d'architecture. En 1668, il a écrit une relation détaillée de la fête de Versailles du dix-huitième juillet mille six cent soixante-huit, à laquelle il a assisté en tant que représentant de l'Académie. [...]
[...] Cette analyse nous invite à réfléchir à la manière dont l'art peut transcender les barrières du temps et de l'espace pour nous offrir une expérience unique et intemporelle. [...]
[...] Comment Félibien décrit-il l'expérience de la représentation théâtrale et musicale lors de la fête de Versailles en 1668 ? Un spectacle vivant (l.1 à Le 1[er] paragraphe consiste à résumer l'intrigue en intermède impression d'un spectacle vivant l.1 : focalisation externe : utilisation de verbes d'observation : le locuteur est placé en tant que témoin « l'on voit » l.1 utilisation du « on » (pronom personnel indéfini de la 3[ème] personne) : donne une portée + large / élargir la relation (relate (observe / raconte) à tous les spectateurs) = relation entre des personnes Sa vision passe de subjective à objective l.2-3 : utilisation du présent (de l'indicatif) de narration : c'est quand il voit qu'il nous raconte « conseille » l.2 / « emmène » l.3 l.5-6 : son enthousiasme se traduit par « on ne peut comprendre comment » l.5 techniques ingénieuses « artifice » l.6 Le lecteur apprend aussi qu'il a affaire à un spectacle total. [...]
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