Voltaire, de son vrai nom François-Marie Arouet, est né le 21 novembre 1694 à Paris. Figure emblématique de la France des Lumières, chef de file du parti philosophique (globalement, ce sont les intellectuels partisans du mouvement des Lumières, par opposition au parti dit dévot), son nom reste attaché à son combat contre « l'infâme », nom qu'il donne au fanatisme religieux, et pour la tolérance et la liberté de penser. Connu pour ses écrits philosophiques, pour sa grande ironie et pour sa lutte contre l'injustice, l'intolérance, la cruauté et la guerre, il représente les compromissions de la carrière courtisane et mondaine. Son œuvre comprend un vaste ensemble d'écrits dans tous les genres littéraires. Il choisit la carrière des Lettres contre la volonté de son père. Il vivait sans cesse dans la crainte de se faire emprisonner à cause des critiques présentes dans ses textes. C'est pour cela qu'il fit deux séjours à la Bastille (un en 1717 et le second à partir de 1726). Il est plus tard contraint à l'exil en Angleterre ou à l'écart de Paris par le pouvoir. C'est en 1749 qu'il part à la cour de Prusse pour être aux côtés de Frédéric II à Berlin. Il devient son « maître en belles-lettres ». Mais après trois années de mésentente, il quitte Berlin en 1753. Il se réfugie alors à Genève et va acquérir un domaine à Ferney. Ce n'est qu'en 1778 qu'il revient à Paris, où il meurt la même année. Il représente l'humanisme militant du XVIIIe siècle. Il prône la justice et la liberté d'expression à un temps où la violence, la corruption et la censure étaient des plus importantes. Il représente l'humanisme militant du XVIIIe siècle. Il prône la justice et la liberté d'expression à un temps où la violence, la corruption et la censure étaient des plus importantes. Il condamne fermement l'esclavagisme, mais reste vu comme raciste et antisémite par certains historiens.
[...] Il prône la justice et la liberté d'expression à un temps où la violence, la corruption et la censure étaient des plus importantes. Il représente l'humanisme militant du XVIIIe siècle. Il prône la justice et la liberté d'expression à un temps où la violence, la corruption et la censure étaient des plus importantes. Il condamne fermement l'esclavagisme, mais reste vu comme raciste et antisémite par certains historiens. Historiographe de Louis XV, Voltaire avait entrepris une histoire de la guerre de 1741, la guerre de succession d'Autriche. Il l'a entièrement rédigée quand il s'est installé en Prusse. [...]
[...] - Tout est mis en œuvre pour mettre en avant les colonies, aux dépens de la politique intérieure. III) L'Angleterre, une puissance bien supérieure à la France, dont elle devrait suivre l'organisation Voltaire revint enchanté de son voyage en Angleterre - Pendant son séjour en Angleterre, il rencontra les intellectuels les plus importants du pays. Il fut impressionné par la plus grande liberté d'opinion qu'il y avait en Angleterre et fut profondément influencé par Isaac Newton et John Locke. Quand il fut autorisé à rentrer en France, Voltaire assura sa situation financière puis poursuivit sa carrière littéraire en ayant pour but d'établir la vérité, de la publier dans ses œuvres et d'agir pour la réforme de la société. [...]
[...] La puissance maritime - Déjà pendant les guerres de succession d'Espagne et d'Autriche les Anglais étaient maîtres des mers. Ils dominaient même au temps des règnes successifs d'Henri IV et de Louis XIII. - L'Angleterre peut aligner plus de 300 vaisseaux de ligne montés par marins expérimentés en 1748. - Cette supériorité anglaise bloquait les liaisons entre la métropole française et ses colonies. - Un développement du commerce maritime lié à l'expansion coloniale et aux succès militaires sur mer La valorisation de l'agriculture - Une économie prospère qui repose sur le développement de la révolution agricole. [...]
[...] C'est pour cela qu'il fit deux séjours à la Bastille (un en 1717 et le second à partir de 1726). Il est plus tard contraint à l'exil en Angleterre ou à l'écart de Paris par le pouvoir. C'est en 1749 qu'il part à la cour de Prusse pour être aux côtés de Frédéric II à Berlin. Il devient son maître en belles-lettres Mais après trois années de mésentente, il quitte Berlin en 1753. Il se réfugie alors à Genève et va acquérir un domaine à Ferney. [...]
[...] La guerre semble alors inévitable. En Inde, il se passe la même chose. Les compagnies des Indes des deux pays s'affrontent : la compagnie française des Indes orientales a été créée en 1664 par Colbert par la Déclaration du Roi portant établissement d'une Compagnie pour le commerce des Indes orientales et mise en place surtout pour concurrencer les autres compagnies européennes fondées au XVIIe siècle, en particulier les compagnies anglaise et hollandaise. Le 31 décembre 1600, la reine Élisabeth Ire d'Angleterre accorde une charte royale conférant pour 15 ans le monopole du commerce dans l'océan Indien à la Compagnie anglaise des Indes orientales, la première compagnie européenne à avoir été créée. [...]
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