Esclavagisme, Olaudah Equiano, violence, maltraitance, inhumanité, cruauté, colonies, plantations
Les conditions de vie des esclaves dans les exploitations étaient terribles, et ce document l'illustre bien. Le narrateur, Olaudah Equiano, évoque les conditions de vie des esclaves depuis leur enlèvement jusqu'aux travaux forcés. Son rapport clair et précis nous plonge dans un univers de brutalité, de violence et d'inhumanité qui commence dès le début du récit, nous décrivant ainsi un long calvaire qui débute dès l'enlèvement et qui semble ne pas finir.
[...] Le narrateur, Olaudah Equiano, évoque les conditions de vie des esclaves depuis leur enlèvement jusqu'aux travaux forcés. Son rapport clair et précis nous plonge dans un univers de brutalité, de violence et d'inhumanité qui commence dès le début du récit, nous décrivant ainsi un long calvaire qui débutant dès l'enlèvement et qui semble ne pas en finir. Le calvaire de l'esclave : des exemples concrets Les prisonniers sont d'abord attachés, « Ils attachèrent nos mains » puis « enchainés les uns aux autres » (l7-8). [...]
[...] Conclusion En conclusion on peut dire que pour ce qui est du fonctionnement des sociétés esclavagistes, nous l'avons bien vu ci-dessus, la chronologie était : la capture des noirs dans les villages, l'embarquement des esclaves vers les lieux de travail, la vente, et le travail forcé. Tout cela avec des conditions de vie totalement inhumaine et cruelles, ces faits certes passés, sont la grande honte de l'humanité. Ce document illustre donc bien les conditions de vie des esclaves depuis leur enlèvement jusqu'aux travaux forcés dans les sociétés esclavagistes au XVIème siècle. [...]
[...] Il finit en évoquant les maladies qui suivirent ces conditions de vie insupportables, dont beaucoup d'esclaves moururent. Enfin, à la fin du texte, lorsque les esclaves sont arrivés à destination, au moment où le lecteur pourrait penser que les malheurs sont finis, le narrateur l'arrête tout de suite en peignant le tableau de cette femme, occupée à préparer le diner qui était « cruellement chargée de divers instruments en fer, dont un qu'elle portait sur la tête et qui lui fermait si étroitement la bouche qu'elle pouvait à peine parler, manger ou boire » (l16-17-18). [...]
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