L'auteur de cet article, Charles Marsillon est très peu connu, on sait de lui qu'il a écrit plusieurs fois pour Nature entre 1894 et 1897. Il écrit à propos des États-Unis par exemple 1895 à propos d'avalanches estivales de neige dans le Colorado, ou encore en 1897 à propos de l'industrie forestière en Californie. L'on peut ainsi penser qu'il est un homme d'origine européenne notamment de par son vocabulaire dans le texte (Peaux-Rouges) et qu'il part explorer le continent américain au XIXe siècle.
L'article présenté est extrait de la revue nature revue des sciences, qui est une revue scientifique généraliste, publié hebdomadairement. Il s'agit d'un journal très réputé dans le monde, lancé en 1869 par le Birtannique Jospeh Norman Lockyer. Plus précisément il est question du numéro 1222 daté du 31 octobre 1896.
L'année 1896 s'inscrit dans un contexte de fort de migration pour les États-Unis, mais aussi du recul de la frontière qui est l'espace marqué entre le monde sauvage et celui civilisé de l'homme blanc.
Le texte fait état de la mise à disposition de terres dans le Minnesota qui un État qui intègre l'Union le 11 mai 1858 ; et qui se trouve au Centre-Nord du Continent américain, au profil des nombreux immigrants européens qui affluent vers les États-Unis à ce moment-là, mais cela ne se fait pas sans problèmes, car des Indiens vivent alors sur place. Tout dans ce texte est fait pour démontrer la politique d'accueil mise en place par le gouvernement fédéral des États-Unis, entre bons et mauvais aspects que cela revêtit.
Dès lors nous nous demanderons en quoi, ce texte fait il état de la mise en avant de la politique d'accueil des États-Unis aux profils des immigrants européens et aux dépens des populations autochtones ?
[...] Mais encore le clan franco-canadien qui parle la même langue et ne s'ouvre pas aux autres, et autres rivalités déjà existantes sur le sol européen. De plus, l'article présenté ici n'est pas dans sa totalité. Il y au une dernière partie ou l'auteur dit : Mais dans ces contrées éloignées et hors de la surveillance de l'autorité, une existence humaine compte pour bien peu de choses. Le sauvage axiome la force prime de droit règne en souverain maître, et malheur au faible qui ne peut défendre, à coups de fusil le bien qu'il vient d'acquérir. [...]
[...] Cette nouvelle vague, la troisième que l'on appelle Les New Migrants est différente des autres car elle est plus variée quant aux zones de départs des immigrants : on compte plus de Britanniques, Allemands, Scandinaves, Russes, Hongrois, Italiens, Arméniens et même de Japonais. Pour la décennie qui nous intéresse soit entre 1890 et 1900, l'on observe d'après les données de Historical Statistics from Colonial Times qu'il y a en tout arrivées officielles, et plus précisément venant d'Europe du Nord-Ouest venant d'Europe Centrale Orientale de l'Europe Méditerranéenne et provenant d'autres régions du monde. Contrairement aux générations d'immigrants précédentes, celle-ci se différencie aussi par sa population. [...]
[...] Plus précisément il est question du numéro 1222 daté du 31 octobre 1896. L'année 1896 s'inscrit dans un contexte de fort de migration pour les États- Unis, mais aussi du recul de la frontière qui est l'espace marqué entre le monde sauvage et celui civilisé de l'homme blanc. Le texte fait état de la mise à disposition de terres dans le Minnesota qui un État qui intègre l'Union le 11 mai 1858 ; et qui se trouve au Centre- Nord du Continent américain, au profil des nombreux immigrants européens qui affluent vers les États-Unis à ce moment-là, mais cela ne se fait pas sans problèmes, car des Indiens vivent alors sur place. [...]
[...] Cette loi concerne près de Indiens en Amérique. Et elle s'inscrit dans le processus de refoulement vers l'Ouest pour permettre l'ouverture à l'économie dite blanche (commerce, marché, agriculture). Jusqu'alors, les Indiens profitaient des terres octroyées par les terres du Dawes Act de 1887, ce dont l'auteur fait mention aux lignes 7 et 8 je cite «ils bénéficiaient en toute franchise de la pêche e de la chasse sur leurs réserves Mais peu de temps avant cet article la loi est amandée une première fois en 1891, ce qui conduit à un déplacement des Indiens en échange de, je cite les lignes 41 à 43, d'indemnités et leur abandonnant la libre possession de vastes cantons giboyeux situés plus à l'Ouest. [...]
[...] Tout d'abord, il nous explique qu'il est du ressort du gouvernement que de donner la propriété à tout ceux qui veulent venir s'installer sur le sol de la république, aux lignes 4 et 5. «Les Etats-Unis sont dans l'obligation de livrer quelques parcelles encore inhabitées de son vaste territoire Et c'est toujours le Congrès qui organise et qui décide quelles terres sont à pourvoir ainsi que le et le nombre de résidents a y implanter, en l'occurrence d'après l'auteur à la ligne 14. [...]
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