Henri II, roi, France, François Ier, vie, guerre, pouvoir, royaume, mort, tournoi de chevalerie
Le 31 mars 1519 naît, au château de Saint-Germain-en-Laye, le second fils du roi de France, François 1er. Henri deviendra le duc d'Orléans, tandis que son grand frère, François, est le dauphin de leur père, François 1er, mais aussi, un duc de Bretagne, sous le nom de règne de François III. La jeunesse du futur Henri II se passe en toute quiétude, même s'il n'est pas tellement aimé par son père qui préfère son frère François.
[...] En 1535, le duc de Milan, François II Sforza meurt. François 1er, en revendique l'héritage, Charles Quint et lui, se battront, jusqu'à ce que l'empereur germanique, accepte de lui céder le duché, ce qu'il ne ferra pas. Le duché de Milan, ne sera jamais repris par les Français et restera jusqu'au XVIIIe siècle aux mains des Espagnols. En 1536, coup de théâtre, dans l'ordre de succession au trône de France, François III duc de Bretagne et dauphin de François 1er, meurt. [...]
[...] La défaite de Saint-Quentin, le 10 août 1557, sera celle de trop, et mettra un terme définitif aux prétentions françaises sur l'Italie, car cette défaite face aux troupes de Philippe II d'Espagne, aboutira au traité de Cateau-Cambrésis, le 3 avril 1559. Les guerres d'Italie s'achèvent ainsi. La plus grande victoire d'Henri est la prise de Calais, qui était détenue depuis 210 ans par les Anglais, depuis le 4 août 1347, tombe. Le 8 janvier 1558, elle redeviendra française, ainsi, les Anglais seront boutés hors des territoires français, à la suite de cette défaite. [...]
[...] Ces erreurs et l'entêtement du roi, vont lui coûter cher. Emporté par son élan, le comte de Montgommery, transperce l'oeil gauche, d'Henri II, avec sa lance, qui est désarçonné, une nouvelle fois. Ce dernier, sera transporté en urgence, à l'hôtel des Tournelles, une résidence royale proche du lieu de l'accident. Malgré les soins de plusieurs médecins, dont le père de la médecine française, Ambroise Paré, Henri va mourir, après 10 jours d'agonie, d'atroces souffrances, le 10 juillet 1559, à 40 ans, en ayant au préalable exonéré de faute, le comte, qu'il la blessait et en ayant donné son accord, pour le mariage de sa sœur et celui de sa fille. [...]
[...] Elle exhorte son époux d'arrêter de combattre, lui qui vient certes de perdre, lors du premier tour face à Montgommery, il fut désarçonné. Mais Henri II refuse de perdre, il réclame une seconde manche. Mais, lorsqu'on le prépare, ces servants oublient, de lui remettre sa visière en place, elle n'est pas assez baissée. Il repart au galop, sûr de sa victoire. En face, son adversaire n'a pas le temps de changer de lance, il est pris de court et garde sa lance ébréchée. [...]
[...] Il commence, par faire partir, tout l'entourage de son père, il décide de faire revenir auprès de lui, un personnage, qu'il considérait, comme étant son père spirituel, un ami intime de François 1er, qui est tombé en disgrâce, en 1541, le connétable de France, Anne de Montmorency. Des nouvelles têtes apparaissent, alors qu'il avait promis à son père, sur son lit de mort, de ne pas toucher, à ses partisans et ministres. Mais Henri II, préfère repartir d'une feuille blanche. Au début de son règne, il se veut être proche de son peuple. Il est accueilli en grande pompe, au sein des provinces du royaume, il consulte, il écoute, il cherche à comprendre les acquis et les besoins du peuple. [...]
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