Révolution française, prêtre, évêque d'Autun, homme politique, constitution civile, clergé, Directoire, ministre des relations extérieures, Grand Chambellan, Charles-Maurice de Talleyrand-Périgord
Charles-Maurice de Talleyrand-Périgord fut un homme d'église, et homme politique français. Il est né le 2 février 1754 à Paris et mort dans la même ville, le 17 mai 1838.
Il était le fils aîné de Charles-Daniel de Talleyrand-Périgord et d'Alexandrine de Damas d'Antigny.
[...] Charles-Maurice de Talleyrand-Périgord jouera un rôle décisif au congrès de Vienne (1814-1815). Après l'épisode des cent jours du retour de Napoléon 1er de l'île d'Elbe, il va récupérer à nouveau la place de chef du gouvernement provisoire de la France de juillet à septembre 1815. À la fin de la Restauration et à cause de désaccord profond avec sa politique, Charles-Maurice de Talleyrand-Périgord sera un adversaire politique, membre de l'opposition libérale à l'Assemblée, de Charles X. Le roi Louis-Philippe, son successeur, nommera Charles-Maurice, à son tour, ambassadeur de la France au Royaume-Uni, à Londres. [...]
[...] Par la suite, il va devenir Grand Chambellan d'Empire et prince de Bénévent. En 1807, il va quitter ses fonctions de ministre des Affaires étrangères, car il va refuser toute rupture totale avec l'Autriche. Et à cause de ce point de désaccord important, Napoléon 1er, finira, par le disgracier complètement, en 1809. Mais lorsque ce dernier sera à son tour en disgrâce, Charles-Maurice de Talleyrand-Périgord, qui va prendre en main les affaires de l'état et devenir le chef du gouvernement provisoire en avril 1814, ne va vite s'empresser, de faire voter la déchéance de Napoléon 1er, et de faire reconnaître en lieu et place, Louis XVIII comme roi. [...]
[...] Il était le fils aîné de Charles-Daniel de Talleyrand-Périgord et d'Alexandrine de Damas d'Antigny. Chapitre 2 : le commencement L'enfance de Charles-Maurice est difficile, en effet, ce dernier est né boiteux, il souffre d'un pied-bot. C'est à cause de cette déformation, qu'il sera mieux vu, comme ecclésiastique. C'est ainsi, qu'il va devenir prêtre en 1779 et évêque d'Autun en 1788. L'objectif est de faire de lui, l'héritier de son oncle, qui est archevêque de Reims. Chapitre 3 : l'homme politique et sa mort En 1789, débute la Révolution Française, qui sonnera le glas des espérances du roi Louis XVI. [...]
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