Affaiblissement pontifical, Rome, papauté d'Avignon, chrétienté, mouvements hérétiques
Période délicate pour la Chrétienté après la phase d'expansion. 1274 : dernier grand concile du siècle, de Lyon. Les papes quittent Rome pour Avignon pour plus d'un siècle : affaiblissement du pouvoir pontificale. Crise qui débouche sur un renouveau.
1284 : à Beauvais, la flèche de la cathédrale s'effondre. On assiste à la fin d'un cycle : limites intellectuelles, techniques, religieuses, commerciales, démographiques et intellectuelles : la papauté se crispe, les mouvements hérétiques reprennent, émergence de nouvelles spiritualités commencent, on n'écrit plus aussi librement qu'au XIIIème siècle : procès de maitre Eckhart et d'Etienne Tempier, on arrête des intellectuels : Roger bacon, Scott.
[...] Elle se résume aux hommes et aux femmes qui la constitue, pas au dirigeant, l‘Eglise aucun pouvoir politique et ne doit pas s‘immiscer. Le pape s'indigne, de Padoue est condamné à mort. Il s'enfuit en Allemagne. Guillaume Dockhame, thèses : celle de l'individu autonome, qui crée sa propre énergie. Le Concile doit être l'outil de décision suprême. Ces exemples ont eu un faible écho intellectuel, les princes sont très partagés, Jean 22 les attaquent. Courant les Spirituels plus d'obéissance, (moins de pauvreté et de chasteté) fait arrêter le groupe de Bernard Délicieux. [...]
[...] L'universalité est plus importante que de défendre les affaires de France; les continuités l'emportent donc sur les ruptures III. La captivité de Babylone Une nouvelle capitale de la chrétienté Avignon est lieu de création, d'innovation : le gothique international. L'humanisme Colonna est le premier. Développement d'une cour fastueuse de 200 à 300 personnes sous Avignon. En 1310 Clément V paie ses fonctionnaires en argent : entourage proche, les médecins, les chapelains, les chambriers, les cardinaux, les gardes, les domestiques, l'aumônerie personnes dans la cour du pape à Avignon. Elle devient une deuxième Rome symbolique. [...]
[...] La papauté d'Avignon : 1274-1377 Période délicate pour la Chrétienté après la phase d'expansion : dernier grand concile du siècle, de Lyon. Les papes quittent Rome pour Avignon pour plus d'un siècle : affaiblissement du pouvoir pontificale. Crise qui débouche sur un renouveau. I. Les crises de la théocratie pontificale 1 ) Un retournement de tendance 1284 : A Beauvais, la flèche de la cathédrale s'effondre. On assiste à la fin d'un cycle : limites intellectuelles, techniques, religieuses, commerciales, démographiques et intellectuelles : la papauté se crispe, les mouvements hérétiques reprennent, émergence de nouvelles spiritualités commencent, on écrit plus aussi librement qu'au XIIIe siècle : procès de maitre Eckhart et d'Etienne Tempier, on arrête des intellectuels : Roger bacon, Scott. [...]
[...] La chancellerie est devenue très importante, elle gère des milliers de lettres, des milliers de bulles. Le retour à Rome Surpopulation à Avignon. Rome garde tout son prestige. Tout ceci conduit à une relocalisation. Retour difficile d'Urbain annonce le retour à Rome en 1367, c'est une reformation de la papauté. Il reçoit les chefs d'Etat ans plus tard le pape revient à Avignon, les cardinaux les archives et la fiscalité ne l'ont pas suivi à Avignon. En 1377, Grégoire XI s'installe de nouveau à Rome. [...]
[...] En 1301, le Bel fait un coup d'éclat : arrête l'évêque de Pamiers : Bernard Saisset, car évêché qui vient d'être crée sans consultation du roi de France. Réaction du pape peu cordiale. Convocation en 1302 des évêques français à Rome. Le bel convoque les premiers états généraux en avril 1302. Il perd une bataille importante, le pape reprend la main. Eté 1302 reconvoque les états Généraux, lors de ce concile : bulle Unam Sanctam ( guerre contre Le Bel. [...]
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