Vicaires, dime, redevance, cabaretier, notaire
les ecclésiastique, car en générale dans les villages il y a une paroisse, à la tête il y a une prête principal nommé curé, auxquels sont soumis plusieurs autres prêtres nommés vicaires. Le titre de curé vient du latin de curia animarum qui signifie le soin des âmes. Le curé pour survivre, entretenir l'église et entretenir la où il habite : le presbytère, d'autre part il s'occupe des œuvres charitables et de l'éducation, pour subvenir à ces besoin, sa ressource principale est la dime. C'est une redevance très ancienne qui remonte au moyen âge
[...] Le titre de curé vient du latin de curia animarum qui signifie le soin des âmes. Le curé pour survivre, entretenir l'église et entretenir la où il habite : le presbytère, d'autre part il s'occupe des œuvres charitables et de l'éducation, pour subvenir à ces besoin, sa ressource principale est la dime. C'est une redevance très ancienne qui remonte au moyen âge Les strates de la société urbaine. La dîme est en théorie 1/10 des revenus. En réalité à l'époque moderne il est très variable d'une région à l'autre, et en générale il est plus bas soit 1/12 à 1/13 des revenues. [...]
[...] Pour ce qui est de la profession libérale, il n'y en a pas beaucoup. Le plus important du village est le notaire, qui entérine toute les vente et location. Et parfois il n'y en a pas et il faut aller dans un autre village. Il n'y a pas de médecin, c'est un luxe des villes. De même il n'y a pas de boulanger car tout simplement le paysan fait son pain. Parmi le monde des artisans deux personnages on une importance notable. [...]
[...] L'autre problème c'est l'imposition sur les nouvelles terres défrichées. Pour finir la perception de la dîme à l'époque moderne va être de moins en moins l'affaire du curé, il va passer en faite par un intermédiaire appelé décimateur. Il peut être un laboureur (le plus souvent) désigné par le curé, où un représentant du seigneur dans ce qu'a la on parle de dîme inféodé. Et le décimateur va se faire payer pour cette collecte, il se garde une partie de la redevance, au point que le curé ne reçoit qu'une petite partie de la dîme qu'on appelle la portion congrue. [...]
[...] C'est un personnage populaire contrairement au meunier. Ce dernier est chargé de fabriquer de la farine grâce à des moulins à eau. Il est détesté des paysans car on l'accuse d'accaparer le grain pour provoquer une pénurie artificielle pour créer une inflation du prix des blès. Il subi tous les ans la manifestation du mécontentement de la population lors du carnaval qui dure de 3 jours à 2 semaines juste avant l'entré dans le temps du carême. Lors de cette période il y a beaucoup de beuverie, des règlements de compte qui peut aller jusqu'à l'assassinat. [...]
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