Époque médiévale, noblesse, cavalerie carolingienne, chevalier, système féodal
On retrouve l'origine de la noblesse à l'époque carolingienne : se dessinait déjà ce système féodal qui conduisait les grands à vivre de manière indépendante, dispose d'une certaine richesse puisqu'ils disposent de la terre.
La chevalerie est l'origine de la noblesse : combattants à cheval, importance de son armée constitué de la cavalerie carolingienne calcée sur celle des sarrasins : nécessité d'avoir des armes bien entretenues et le coût que ça pouvait engendrer : animal/cheval coûteux.
[...] Le statut de ce chevalier (avant de le développer) l'ordre est un phénomène fonctionnel et juridique, la classe est un phénomène sociale et économique. La société d'adel berron ne reflète pas la société, elle n'est pas exacte (avec les bellatores : combattants : les laboratores : ceux qui travaillent, latores : où sont les nobles, horatores : ceux qui prient) : les roturiers/bourgeois ne sont pas compris dedans, il a des juifs/musulmans. Fonction des bellatores de se vouer à la guerre : ces chevaliers considèrent la guerre comme une belle activité, une épreuve vivifiante, une activité qui, véhiculé par les troubadours, relate de leurs exploits physiques et guerriers. [...]
[...] Eux, ils payent l'impôt du sang. [...]
[...] S'il n'y a pas de période de guerre ils seront chargés de s'exercer, de se préparer lors de la chasse/ lors de tournois. On constate au début du Moyen Age un ordre assez ouvert : n'importe qui pouvait être ordonné chevalier : à part ceux qui sont dans l'impossibilité de se battre, un fief pouvait devenir chevalier par la remise d'arme et ainsi devenir noble mais tous les chevaliers n'étaient pas nobles pourtant. Cas particulier : soit cette remise des armes se faisait par un chevalier, puis on a voulu rajouter un autre personnage : ils étaient deux, puis quatre : évolution qui a conduit à la fermeture de cet ordre là. [...]
[...] En 1150 Saint Bernard prône la chevalier comme aidant à l'idéal de l'église, il faut ainsi voir l'église comme fondateur de cet idéal chevaleresque. Remise des armes par le chevalier, plus jeune : que le seigneur a prit à ses côté : traditions germaniques consistant à ce que le futur chevalier lorsqu'il va rentrer en chevalerie frappe avec une lance un mannequin : entrée en chevalerie, à l'âge adulte : c'est là que va se constitué la commendatio. Cette tradition germanique va être réformée par l'église : elle souhaite véritablement intervenir dans chaque élément de cette cérémonie, à la fin du XIIème siècle l'adoubement équipé va devenir un rituel liturgique : ainsi l'évêque va remettre les armes au chevalier, si possible un jour saint avec des armes préalablement bénit, plus particulièrement l'épée : s'effectue sur deux jours : commence par une veiller de prière, après le dépôt des armes sur l'hôtel, suivit le lendemain d'une liturgie qui comprend le serment prête par le chevalier de défendre et de protéger l'église, les faibles, la veuve et l'orphelin, d'observer les lois de la guerre et les trêves religieuses, de défendre la paix et de combattre le mal : ceci nous rappel le sacre. [...]
[...] : Distinction de la noblesse d'Europe et des pays. En plus de cette acquisition on s'aperçoit que les nobles qui sont de plus en plus pauvres (ont subit une crise économique, problème de climat : mauvaises récoltes) cette aristocratie laïque foncière (rentiers du sol) : ces facteurs conduisent à son appauvrissement, pour se faire il va se mettre sous la protection d'un plus puissant que lui où un vassal va se soumettre à un seigneur, la vente d'une partie du fief : c'est monnayable. [...]
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