La religion est très présente à l'époque médiévale ; l'idée d'athéisme n'existe pas. Des communautés musulmanes et protestantes émergent. Et les hérétiques sont placés en marges, car ils ne reconnaissent pas les institutions de l'Eglise.
L'historiographie est l'étude de l'écriture de l'Histoire. L'Histoire sociale, elle, permet d'étudier les diverses catégories de la société (Laïc et religieux) à l'époque où les élites s'imposent par la religion, qui encadre la société (Rites). L'Histoire politique est l'étude des institutions (pouvoir formel) laïques et religieuses. De la pratique du pouvoir ; de sa mise en place. L'Eglise a un rôle économique : elle est propriétaire foncière, pose des taxes et vie luxueusement. L'Histoire culturelle est le domaine de la connaissance et de la transmission.
L'Eglise contrôle la culture écrite jusqu'au XIIIième siècle. Elle englobe l'Histoire des mentalités, à savoir la conception que les hommes ont du monde, de la vie, de la mort, etc (...)
[...] Dès le XIXième (1815), les Lumières affirment l'usage de la raison ; la religion est critiquée. Et l'humanité progresse vers l'idéal de liberté. Ces philosophes développent une vision négative du Moyen Âge, assimilé à un monde barbare. Durant la Révolution, François Guizot (mort en 1874), professeur et homme politique, s'intéresse lui à l'installation des Francs, qu'il rattache à l'identité nationale. Les Francs insufflent ici un vent d'esprit de liberté. Ces deux idées seront reprises par Michelet, qui rapproche le Moyen Âge à la Révolution. [...]
[...] Il analyse le caractère sacré des souverains : les rois thaumaturges. Et il montre croyance populaire envers le sacré. Le Moyen Âge est pour Marc Bloch une société à part entière ; sa conception de l'histoire est plus large. L'École des Annales/la revue des Annales (1929) est un laboratoire d'une nouvelle conception de l'Histoire à Strasbourg. Elle refuse l'Histoire du XIX ième siècle, qui s'intéresse uniquement aux grands hommes et aux évènements. Elle redéfinie la méthode historique en se tournant vers les autres sciences sociales (Géographie, sociologie, etc.). [...]
[...] L'historiographie est l'étude de l'écriture de l'Histoire. L'Histoire sociale, elle, permet d'étudier les diverses catégories de la société (Laïc et religieux) à l'époque où les élites s'imposent par la religion, qui encadre la société (Rites). L'Histoire politique est l'étude des institutions (Pouvoir formel) laïques et religieuses. De la pratique du pouvoir ; de sa mise en place. L'Eglise a un rôle économique : elle est propriétaire foncière, pose des taxes et vie luxueusement. L'Histoire culturelle est le domaine de la connaissance et de la transmission. [...]
[...] L'époque médiévale est jugée obscure ; elle est une parenthèse culturelle dans l'évolution de l'humanité. C'est une véritable rupture. François Pétrarque (1304-1374) est un poète italien. Il partage l'Histoire de l'humanité en trois périodes : Historia antiqua : Antiquité jusqu'au Ve siècle. Historia nova : Moyen Âge, période de lente dégradation des mœurs et du langage. Rinascita/Renaissance : Renouveau basé sur la redécouverte de l'Antiquité. Pétrarque est considéré comme le premier humaniste. Les savants byzantins s'exilent en Italie ; la philologie (Étude des langues) s'emploie à renouer avec le latin. [...]
[...] Et le monde Byzantin conservera jusqu'au bout sa culture romaine est l'année de la chute de l'Empire romain d'orient, attaqué par l'Empire Ottoman. Le 29 mai, les Turcs prennent Constantinople. La civilisation musulmane envahit l'espace ; la ville devient Istanbul. La culture antique se déplace. Et l'occident accueil les savoirs. De même, cette année là, la guerre de cent ans prend fin ; les Anglais perdent leurs domaines en France, notamment en Aquitaine. Les campagnes sot détruites (problèmes économiques), mais un nouvel essor voit le jour est marquée par l'affirmation de l'expansion européenne. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture