Histoire médievale, mutations monétaires, commerce international, argent, système monétaire, lettre de change
Si on est au début du XIVe siècle dans une situation de monopole relatif, la plupart des ateliers monétairess sont aux mains du roi, on contrôle biens mieux les flux et on peut imposer la monnaie. Quand on a une monarchie qui a beaucoup de dépense à effectuer, notamment pour la guerre, or la monarchie n'est pas encore sur le plan administratif assez développé pour mettre en place un impôt généraliser. La seigneurie rurale qui domine n'est pas un système qui permet de dégager de très fort surplus. Pour accroitre les capacités d'achat de la monarchie on procède à des mutations monétaires on change le titre ou le cour de la monnaie.
[...] Pour accroitre les capacités d'achat de la monarchie on procède à des mutations monétaire on change le titre ou le cour de la monnaie. Le roi pourra fabriquer bien plus de denier avec moins de métal. Au bout d'un moment cette monnaie dévaluée va provoquer une augmentation des prix et des loyers. Les salaires ne suivant pas forcement cela créer une tension sociale. Au début du XIVe siècle on voit se mettre en place le franc, avec le roi Jean II avec des émeutes, et une incompréhension de la part des contemporains, car pour eux tous ce qui est valeur est issue de la volonté divine. [...]
[...] On a un système monétaire de trois étages, chacun adapté à un système d'échange : - L'or est la grande monnaie du commerce internationale. Pour les princes c'est aussi une monnaie de prestige. - L'argent pour le commerce locale, sur les marché, les foires et pour payer les taxes - La monnaie de billion, qui contient peu de métal pure que l'on trouve dans les échanges locaux, dans les petites seigneuries pour le payement de redevances. A la fin du moyen âge l'or devient de plus en plus couteux et est thésaurisé. [...]
[...] Même si les métiers sont complémentaires il y a des différences sociales. Le commerçant qui vend le drap est le trait d'union entre ces métiers. C'est lui qui va acheter la matière première, il la vend aux artisans qui vont la transformer, il acheté le fil . Le commerce domaine la chaine de production. Mais le commerçant, rachète le produits fini et le vendre et engranger des surplus très important. C'est vers lui que les artisans se tournent lorsqu'ils ont besoins de crédits. [...]
[...] Les marchands sont donc aussi des banquiers, ce n'est pas un métier spécifique car ce qui permet de prête de l'argent c'est des capitaux que l'on à engranger grâce au commerce. Les grandes familles réclame de participé à la vie de ville il demande une autonomie de la cité. Ils ont tous intérêt à contrôler le pouvoir politique. Ces oligarchies exercés dans les conseils urbains, ce sont les échevins dans le nord du royaume de France et dans les villes italiennes. [...]
[...] Mais il existe désormais aussi un capitalisme financier. Des familles capables d'accumuler des capitaux par l'échange de produits financiers. En revanche le capitalisme industriel lui est étranger, bien qu'il existe en Flandre des activités artisanales extrêmement développer. L'industrie renvoi à une façon de produire : celui qui travail n'est pas propriétaire des moyens de production (le capital), et non bénéficiaire de ce qu'il produit. Le moyen âge ignore le cadre industriel. Si l'on prend le cas des villes flamandes avec une production de draps échanger à l'internationale. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture