église, hiérarchie ecclésiastique, clergé régulier, baptême de Clovis, ministère religieux
Baptême de Clovis : Rénovatio, restoratio religieuse.
Des régnants tel que charlemagne, ou Louis le Pieux.
Volonté théocratique dans les actes d'exercer leur ministère religieux. Ils manifestent sans cesse leur volonté de restaurer la discipline de l'église.
Ainsi, il n'est pas faux de dire que le chrétien et le sujet sont confondus. Il n'est pas faux non plus de dire que la loi impériale carolingienne et la loi religieuse sont très largement imbriquées.
[...] Paragraphe 4 : le clergé régulier Le clergé régulier est la partie du clergé qui vit selon une règle. Celles-ci sont multiples et variées. Les premières règles apparaissent au IIIe siècle, dans l'Égypte chrétienne. Les premiers réguliers sont ermites, puis à partir de saint Augustin, la règle définit la vie collective. ? L'époque carolingienne une fois de plus représente une continuité dans l'augmentation du nombre des monastères, des rassemblements réservés aux hommes et aux femmes. Ceci fait suite aux faveurs accordées par Charlemagne et par Louis le pieu. [...]
[...] D'autre part, il faut également noter qu'il y a eu un accroissement des églises privés : la gestion des ressources est assuré par le propriétaire foncier, il s'agit d'une usurpation parallèle des biens donnés par les fidèles chrétiens. L'évêque est mêlé au temporel politique et ceci à plusieurs niveaux, l'évêque est effectivement bien un conseillé pour le régnant, un véritable conseillé. Ils sont de véritables conseillés du monarque. L'évêque exerce également une fonction militaire, c'est lui qui est chargé de procéder à la levée des hommes libres sur ses terres : il pouvait aussi posséder des attributions judiciaires, il était bénéficiaire d'immunité conféré par le pouvoir royal/impérial. [...]
[...] Section 4 : l'Église : Baptême de Clovis : Rénovatio, restoratio religieuse. ? des régnants tel que charlemagne, ou Louis le Pieux. ? Volonté théocratique dans les actes d'exercer leur ministère religieux. Ils manifestent sans cesse leur volonté de restaurer la discipline de l'église. Ainsi, il n'est pas faux de dire que le chrétien et le sujet sont confondus. Il n'est pas faux non plus de dire que la loi impériale carolingienne et la loi religieuse sont très largement imbriquées. [...]
[...] Pour le clergé séculier la gestion va être confiée à un représentant, mais ici il ne s'agit pas de celui qu'on nomme le vidame mais celui qu'on nomme un avoué Les abbés sont parfois nommés par les régnants, par le roi ou par le pouvoir impérial et on trouve même parfois des laïques d'où le nom qu'on leur donne, d'où le nom d'abbés, parfois pcq les revenus étaient particulièrement intéressants, la manse attire également la convoitise des laïques. Les abbés vont tenter de lutter contre les usurpations laïques royales, impériales et ceci en se rapprochant de la papauté/du pape de Rome, en s'éloignant de l'église nationale Franque. Mais pour se faire, ils vont devoir obtenir un appui leur permettant de s'affranchir de la tutelle royale et l'appuie sera celui des Grands ce qui expliquera la dislocation de l'autorité royale au sain carolingien= morcellement territoriale médiéval. [...]
[...] Et il assure en particulier la gestion du trône de l'église en attendant la nomination d'un nouvel évêque. Cela permet d'avoir un meilleur choix des représentants ecclésiastiques mais le pouvoir va retourner au système électif et ceci dès le règne de Louis le Pieux. Affranchissement de l'Église par rapport au pouvoir. Des organisations ecclésiastiques tendent à disparaître au cour de la période carolingienne (prêtres des campagnes, chorévèques). Tout va alors reposer sur l'évêque qui comme à l'époque mérovingienne le personnage clé. [...]
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