Ce travail de recherche rassemblera des informations sur l'histoire de la vie des sorcières au moyen âge ayant vécu en Europe. La sorcellerie, la souveraineté de la monarchie et l'Église formeront ainsi l'objet principal de cette recherche. Comme sujet secondaire, les croyances et les rituels de différents peuples mondiaux le complèteront.
Ce fut vers la fin du Moyen Âge que l'Église commença à se sentir menacée par la sorcellerie. L'Église définit la sorcellerie comme étant des pratiques allant contre l'ordre social en influençant le corps ou l'esprit d'un humain. Ces sortilèges pratiqués par des personnes possédant des pouvoirs surnaturels étaient utilisés pour des fins malfaisantes.
Pour réussir à éviter la propagation des pratiques de sorcellerie, l'Église mit donc en place des règlements contre ces pratiques. Tout d'abord, les institutions durent définir ce que fut la sorcellerie pour pouvoir y mettre fin. Cette définition vise toutes les personnes pratiquant des gestes allant à l'encontre des règles dictées par l'Église.
Les sentences infligées pour la pratique de la sorcellerie résultaient, en grande majorité, à la mort. L'un des résultats de cette tentative de contrôle sur le peuple fit l'écriture du "Traité des superstitions" écrit par le curé, Jean-Baptiste Thiers. Ce dernier servait d'une part à définir les pratiques surnaturelles afin de pouvoir identifier les superstitions criminelles et non criminelles. Toutefois, cela n'enraya pas complètement la sorcellerie.
[...] La région cible sera l'Europe me permettant ainsi d'étudier principalement les pays de la France, l'Angleterre et l'Allemagne. Les parties principales de ce travail de recherches renfermeront de l'information sur les pratiques de la sorcellerie, les perceptions de celle-ci et terminera avec la répression et ses résultats. Les pratiques de la sorcellerie Les personnes étant les plus reconnues à se prêter à des comportements impurs sont les femmes. Toutefois, la sorcellerie ne penche pas que pour le mal. Si l'on compare la magie avec la médecine, on y retrouve de très grandes ressemblances. [...]
[...] Une forme de sorcellerie est encore présente de nos jours. Toutefois, elle n'est pas identique à celle qui était exercée au Moyen Âge. Pour démontrer que la sorcellerie à continuer à persister après la chasse aux sorcières s'étant déroulée en Europe, les sorcières de Salem surent marquer l'histoire de la fin du XVIIe siècle dans les colonies de l'Amérique. Au Massachusetts, en 1692, Salem fut connu pour l'exécution et l'emprisonnement des personnes adeptes de la sorcellerie. La légende veut que les habitants du village de Salem commencent à agir d'une façon bien étrange. [...]
[...] La superstition peut se manifester par la parole, une action ou la pratique de gestes sacrés. Verdon, Jean. Les superstitions au Moyen Âge. p.8 Certes, c'est avec grande raison que Dieu a fait défense aux hommes, dans le Décalogue, de se servir d'aucune Superstition, puisqu'ils ne peuvent en user qu'auparavant ils n'aient fait un pacte exprès, ou du moins tacite avec le Démon. Car qui dit Superstition, dit de nécessité pacte avec le Démon. Soman, Alfred. Les procès de sorcellerie au parlement de Paris (1565- 1640). [...]
[...] Verdon, Jean. p.8 La superstition s'oppose donc à la religion puisqu'elle est liée au diable alors que la seconde se veut en harmonie avec Dieu. Nom français pour le manuel Malleus Maleficarum. Soman, Alfred. p.792 Tout pour nuire à son voisin. Soman, Alfred. p.801 Soman, Alfred. p.804 Soman, Alfred. p.807 Soman, Alfred. p.808 Betchel, Guy. La sorcellerie et l'Occident. Compte-rendu d'Éliane Viennot. Toutefois, plus de preuves sont requises. Elton, Geoffrey R. [...]
[...] La sorcellerie se manifeste sous forme de prédictions futuristes, de rituels, de magie blanche, de magie noire. Les personnes la pratiquant peuvent être reconnues comme ayant des pouvoirs devins et magiques ou comme étant des charlatans. Cependant, à l'époque, il n'était pas évident de différencier l'illusion du réel. Chez les hommes Il n'y a pas grand-chose à dire des hommes pratiquant la magie comparativement aux femmes. Ceux d'entre eux qui venaient à pratiquer la magie noire étaient des hommes considérés comme étant des victimes des sorcières[5]. [...]
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