Saint François est né à Assise vers 1181 ou 1182, de son vrai nom Jean Bernardone et il est mort le 4 octobre 1226. Il est issu d'une riche famille de drapiers. Il a reçu une éducation mondaine. En effet, François est un bourgeois donc, un laïc et peu soucieux des réalités pratiques. Son rêve était de devenir un chevalier, c'est pourquoi il prit les armes pour résister auprès des habitants d'Assisse pour défendre la forteresse de la ville haute qui était aux mains des représentants de l'empereur. Mais son engagement ne fut pas récompensé, car d'abord les siens furent vaincus et lui fut fait prisonnier d'une part et d'autre part de retour chez lui il tombe malade et perd cette envie d'être chevalier. C'est à partir de ce moment que nait sa vocation.
[...] La lutte sur la pauvreté s'acheva avec Saint Bonaventure en 1257, qui rétablit le calme et tenta de rétablir les aspirations spirituelles sans laisser de côté les désirs d'action. Conclusion Nous pouvons donc dire que Saint-François a en quelque sorte révolutionnait l'Église avec son idéal de pauvreté et que son idéal est toujours d'actualité notamment avec le pape récemment élu qui a choisi François comme nom en hommage à ce dernier, car lui aussi croire à cet idéal. Mais aussi qu'à certains moments François a été dépassé par le nombre d'individus qui ont décidé de rejoindre son ordre ? [...]
[...] C'est pourquoi François décide de partir en Égypte en rejoignant l'armée de la cinquième croisade. B 1221 : le brouillon de la règle de 1223 Une ambiguïté a commencé a apparaître dès 1214 d'une part à cause du recrutement des frères qui devient de plus en plus abondants et qui pose problème, car il s'effectue sans contrôle, sans probation, et apporte à la congrégation des gens médiocres et des intellectuels se qui étaient contraire à la communauté primitive composée essentiellement de laïcs. [...]
[...] Le pape fait également tonsurer les Mineurs. Ainsi, il fait d'eux des religieux non revêtus des ordres sacrés c'est-à-dire qu'il transforme la confrérie des frères mineurs en une congrégation. Son but : sa spiritualité Selon François quatre éléments importants constituent ce que nous pouvons appeler la spiritualité franciscaine. Tout d'abord l'humilité qui correspond à la volonté de se soumettre d'une part aux circonstances et aux événements et d'autre part aux autorités établies c'est-à-dire l'obligation d'obéir au clergé et à l'Église. [...]
[...] En effet, François souhaite avoir une constitution qui définit l'énoncé de certains principes donc avoir une règle de spiritualité. Le pape, lui surveille et contrôle le développement de l'ordre en faisant en sorte de lui donner des institutions précises en chargeant le cardinal Ugolino Conti de mettre en place ses idées. Grâce au concile de Latran de 1215, une dérogation est accordée aux Frères mineurs pour confirmer leur règlement. Le cardinal Ugolino et François sont également d'accord pour que les Mineurs se réunissent en chapitre général afin de prendre les décisions les plus importantes au vu de l'accroissement du nombre des frères. [...]
[...] En effet, François est un bourgeois donc un laïc et également peu soucieux des réalités pratiques. Son rêve était de devenir un chevalier c'est pourquoi il prit les armes pour résister auprès des habitants d'Assisse pour défendre la forteresse de la ville haute qui était aux mains des représentants de l'empereur. Mais son engagement ne fut pas récompensé, car d'abord les siens furent vaincus et lui fut prisonnier d'une part et d'autre part de retour chez lui il tombe malade et perd cette envie d'être chevalier. [...]
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